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Une femme accusée de menaces contre Sophie Grégoire Trudeau

Sophie Gregoire Trudeau smiles during the Harry Jerome Awards held in Mississauga, Ont., on Saturday, April 22, 2017. Police have charged a woman in southern Alberta with making online threats against the prime minister's wife and the Canadian government. RCMP Cpl. Hal Turnbull said investigators were able to trace the social media account and link it to an address in Lethbridge. THE CANADIAN PRESS/Christopher Katsarov Photo: La Presse Canadienne

LETHBRIDGE, Alb. — La police a déposé des accusations contre une femme du sud de l’Alberta qui aurait proféré des menaces en ligne contre la femme du premier ministre Justin Trudeau et le gouvernement canadien.

Le caporal de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) Hal Turnbull a indiqué que les enquêteurs avaient pu retracer le compte du réseau social et le lier à une adresse à Lethbridge.

Les menaces auraient été faites à l’endroit du gouvernement canadien, mais aussi à l’endroit de la femme du premier ministre, Sophie Grégoire Trudeau, selon le caporal.

Les détails sur les menaces ou sur le réseau social n’ont pas été dévoilés.

Lisa Seymour-Peters, âgée de 49 ans, a été arrêtée le 12 mai, selon le caporal Turnbull.

La dame a été libérée sous condition de ne pas contacter et de ne pas se trouver à moins de 100 mètres de Mme Grégoire Trudeau ou de sa famille immédiate.

La GRC a mis en garde les Canadiens sur ce qu’ils partagent en ligne: «Utiliser les réseaux sociaux comme moyen pour faire des menaces contre un individu ou un groupe de gens n’est pas pris à la légère et pourrait mener à des accusations criminelles si une enquête policière obtient des preuves pour appuyer le dépôt de telles accusations.»

L’année dernière, un Ontarien a été acquitté relativement à des accusations de menaces de mort contre Sophie Grégoire Trudeau. Les propos de l’homme avaient été entendus dans un train et il avait été accusé d’avoir proféré des menaces de mort.

Le juge avait statué que les propos sans leur contexte n’étaient pas suffisants pour une condamnation.

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