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La CAQ souligne le 100e anniversaire de la PC

FRANCIS VACHON / La Presse Canadienne Photo: FRANCIS VACHON
Jocelyne Richer, La Presse canadienne - La Presse Canadienne

QUÉBEC — La contribution particulière apportée depuis un siècle par La Presse canadienne à la vie démocratique du pays a été soulignée jeudi à l’Assemblée nationale.

À l’occasion d’une déclaration en Chambre, la députée caquiste d’Iberville, Claire Samson, porte-parole en matière de communications, a tenu à rappeler les efforts accomplis depuis 100 ans par l’agence de presse en vue de bien informer les citoyens de tout le pays.

Elle a noté que l’agence avait été créée en 1917, pour couvrir la participation canadienne à la Première Guerre mondiale, et n’avait cessé depuis d’offrir à ses lecteurs une information de qualité.

Ce 100e anniversaire représente à ses yeux un «événement majeur pour la presse écrite et les communications au Québec et au Canada», a-t-elle déclaré, en prenant la parole au Salon bleu du parlement, jeudi matin, juste avant la période de questions.

«Le centenaire de La Presse canadienne n’est pas simplement l’anniversaire d’une entreprise de presse, c’est également celle de la vie démocratique» du pays, a ajouté la députée, qui connaît fort bien le milieu des médias ayant eu, avant de se lancer en politique, une longue carrière de gestionnaire dans le secteur des communications, surtout en télévision, à Radio-Canada, TVA et TQS, sans compter son rôle à la présidence de l’Association des producteurs de films et de télévision du Québec.

À travers les nombreux médias qui diffusent ses dépêches, sur toutes les plateformes, l’agence de presse communément appelée «PC» offre aux citoyens, selon Mme Samson, «une source majeure d’informations, sur des enjeux cruciaux et déterminants, que ce soit sur la scène provinciale ou à l’international».

«La Presse canadienne a su se bâtir une réputation mondiale, solide et crédible au fil des années», a dit Mme Samson, grâce au travail «constant et rigoureux de près de 200 journalistes, dispersés dans des bureaux aux quatre coins du pays, sans qui, comme dit la devise du Washington Post, « la démocratie meurt dans l’obscurité »».

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