Soutenez

Gaz de schiste: une étude d'impact au N.-B.

FREDERICTON – L’Institut de l’énergie du Nouveau-Brunswick investira plus de 500 000 $ dans une étude sur les eaux souterraines afin d’évaluer les répercussions possibles du développement des gaz de schiste sur la qualité de l’eau des puits des particuliers.

Le président intérimaire de l’organisation, David Besner, a affirmé lundi que les citoyens s’inquiètent de l’impact du développement des ressources sur leur approvisionnement en eaux souterraines.

Il a fait valoir que ces données scientifiques doivent contribuer à mieux comprendre les enjeux sur la qualité de l’eau.

Le projet constituera le premier examen à grande échelle portant sur la présence de gaz naturel dans les puits de la province. Son objectif est de recueillir les données de base de la qualité de l’eau des puits dans des régions choisies du Nouveau-Brunswick.

L’étude sur une période de deux ans s’amorcera en avril prochain, et un rapport final doit être produit en avril 2016.

Les quatre régions probables sur lesquelles se penchera l’étude de base des eaux souterraines sont Sussex-Petitcodiac, Saint-Antoine-Shediac, Harcourt-Richibucto et Boisetown-Upper Blackville.

L’Institut de l’énergie du Nouveau-Brunswick est un organisme consultatif créé en 2013 par le gouvernement provincial.

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.