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La chaleur ne fait que commencer au Québec

La chaleur fait son grand retour avec des pics à 35 degrés et des ressentis encore plus chauds. Pour lutter contre les températures caniculaires, voici quelques conseils.
Photo: Archives

MONTRÉAL – Les Québécois, qui se réjouissent des récentes largesses de dame Nature, continueront d’avoir le sourire aux lèvres pendant un bon bout de temps.

Selon la météorologue Marie-Josée Grégoire, de MétéoMédia, le scénario se dessinant pour la prochaine période estivale ravira ceux qui ont un faible pour la chaleur.

En entrevue à La Presse Canadienne, Mme Grégoire a affirmé que l’été à venir sera le plus chaud des trois plus récentes années.

Elle a rappelé que les Québécois viennent de connaître «une fin de semaine assez incroyable avec des températures très, très confortables».

Puis, elle ajouté que cet épisode n’était qu’un petit avant-goût de ce qui est à venir durant la belle saison.

Marie-Josée Grégoire a, en effet, mentionné qu’«à partir de la mi-juillet, les températures seront nettement au-dessus des normales» saisonnières.

Elle a, cependant, précisé qu’il n’y aura pas nécessairement davantage de périodes caniculaires qu’à l’habitude.

«On doit s’attendre à avoir de la chaleur, mais ce ne sera pas de façon prolongée», a-t-elle soutenu.

Mme Grégoire a souligné que la barre des 30 degrés Celsius sera certainement atteinte de temps à autre «sans que ça ne dure (pour autant) quatre ou cinq jours de suite».

Elle a spécifié que le portrait ne sera pas exactement le même à la grandeur de la province.

D’après elle, les secteurs de l’extrême sud, de l’Estrie et de la Beauce auront droit plus souvent qu’à leur tour à des températures exceptionnellement élevées.

Par contre, dans le reste du Québec, les données météorologiques correspondront davantage aux normales de saison s’il faut en croire Marie-Josée Grégoire.

En ce qui concerne les précipitations, l’été à venir ne sortira vraisemblablement pas de l’ordinaire.

Mme Grégoire a indiqué qu’«au Québec, on a généralement droit à environ 60 jours d’orages» et elle a poursuivi en disant que ce seuil devrait être de nouveau atteint en raison de la chaleur et de l’humidité qui sont prévues durant la saison estivale.

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