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Cette semaine, Métro craque pour À te regarder ils s’habitueront, L’indice Mc$ween, le retour de Sam Smith…

Photo: David Ospina/collaboration spéciale

Cette semaine, Métro craque pour À te regarder ils s’habitueront, L’indice Mc$ween, le retour de Sam Smith, le nouveau EP de Charlotte Cardin, le Pennywise de Bill Skarsgard, la marque Fenty Beauty de Rihanna et Nicole Kidman sur les tapis rouges.

1.  À te regarder ils s’habitueront

Il y a de ces pièces qui font vivre des moments précieux, voire inoubliables. Parce que leur propos est crucial dans le débat public, parce que les artistes y sont exceptionnels, parce qu’elles font passer du rire aux (presque) larmes. À te regarder ils s’habitueront est une d’entre elles. Sous la direction d’Olivier Kemeid et de Mani Soleymanlou, 11 artistes (dont les attachants comédiens Igor Ovadis et Fayolle Jean) performent grâce à leur art respectif (théâtre, slam, danse) sur le thème de la diversité (des cultures et des corps). Leurs histoires sont touchantes, racontées avec humour et humilité. Il faut voir cette pièce qui, on l’espère, en fera réfléchir plus d’un sur la société.  (Rachelle McDuff)

2. L’indice Mc$ween
Pas besoin de se casser la tête à imaginer un nouveau cours d’économie financière en 5e secondaire, il suffit de forcer les élèves à regarder L’indice Mc$ween, la nouvelle émission de Télé-Québec. Lors de la première émission, on a notamment appris un bon truc pour économiser 45 % sur le prix du Big Mac (choisir le burger Garni Comme un Mac : une tranche de pain et 12 graines de sésame en moins). Dans les prochains épisodes on suivra les confidences de Janette Bertrand, incapable de remplir un chèque à sa séparation. Ou les trucs légaux de Donald Trump pour ne pas payer d’impôt. Bref, c’est la version économique d’Infoman et on adore déjà. Le jeudi à 19 h 30. (Mathias Marchal)

3. Le retour de Sam Smith
Le 7 septembre dernier marquait le retour de Sam Smith, le prodige britannique de la musique pop-soul, trois ans après la parution de son premier album, In the Lonely Hour. Le chanteur, récipiendaire d’un Oscar, rappelons-le, a dévoilé le premier single de son album à venir (album qui n’a ni nom, ni date de sortie), Too Good at Goodbyes. Cette nouvelle pièce, qui ressemble un peu à son succès Stay With Me, n’a rien de révolutionnaire. Il s’en est tenu à sa formule gagnante : peu de musique, beaucoup de voix, des chœurs et le thème de la rupture amoureuse. Pour l’instant, on écoute ce single en boucle en attendant le reste avec impatience. (Virginie Landry)

4. Le nouveau EP de Charlotte Cardin

Les premiers sons de Main Girl ont des airs langoureux, tranchants, entraînants, qui font redécouvrir le timbre chaud et invitant de Charlotte Cardin. Une Charlotte Cardin grandie, plus mature par rapport à Big Boy. Dans ses mots, mais dans sa voix aussi. Le EP nous entraîne dans une sorte d’hypnose jusqu’aux dernières notes de Just Like That, la chanson finale. Et quand on s’en réveille, de cette hypnose, tout ce qui reste, c’est le désir d’en entendre plus (Camille Lopez)

5. Le Pennywise de Bill Skarsgard
Un gros défi attendait Bill Skarsgard quand il a accepté de jouer le rôle du clown Pennywise dans la nouvelle adaptation cinématographique de It, un roman de Stephen King. Surtout que le personnage avait été brillamment campé par Tim Curry dans un téléfilm paru en 1990. Heureusement, le fils de Stellan réussit avec brio. Son interprétation de l’entité monstrueuse qui se nourrit de la peur des enfants est juste et terrifiante. Nous avons bien hâte au prochain volet. (Mathieu Horth Gagné)

6. La marque Fenty Beauty de Rihanna
Cet automne, tous les regards de l’industrie de la beauté sont tournés vers Rihanna, qui a lancé en grande pompe sa marque Fenty Beauty. Mot-clé pour définir la collection? Inclusion. Rihanna souhaite proposer une gamme de produits qui conviennent à tous les types de peau et à toutes les carnations. On parle de formules aussi «légères que l’air», offertes dans un large éventail de nuances, des plus pâles aux plus foncées. Fenty Beauty mise d’ailleurs sur le teint, avec notamment des bâtons illuminateurs, une base et des feuillets matifiants. Il s’agit là de l’arsenal de la star, rendu accessible à tous pour arborer un teint parfait même sans avoir une armada de maquilleurs à sa disposition. En vente chez Sephora (de 20 $ à 67 $). (Jessica Dostie)

7. Nicole Kidman sur les tapis rouges
Ce n’est pas d’hier que Nicole Kidman brille sur les tapis rouges. Il y a 20 ans, la blonde (alors rousse!) actrice éblouissait avec une robe haute couture inoubliable signée John Galliano pour Dior. Et son bon goût vestimentaire n’a pas pâli avec les années. Ces derniers mois, elle s’est particulièrement surpassée, notamment grâce à une tenue noir et blanc de Calvin Klein portée sur la Croisette le printemps dernier. Résultat : le magazine People l’a élue personnalité la mieux habillée de 2017 la semaine dernière, un honneur des plus mérités. (Jessica Dostie)

On se désole pour…

Les grincheux anti-Barmaids

Certains trouvent que l’émission de téléréalité Barmaids est décourageante de trivialité. Mais vous verriez l’extase qui s’empare de nos collègues, gars comme filles, le jeudi à 21 h, et vous changeriez immédiatement d’idée. Ce n’est pas un produit superficiel, c’est un générateur de joie. Parfois, on reçoit même un décompte du plus grand fan de la salle de rédac (Dom Cambron-Goulet, pour ne pas le nommer) : «3 heures 12 minutes et 6 secondes avant le prochain épisode! Non 5! Non 4!» Ni la Coupe Stanley ni celle du Monde (de Coupe) ne crée autant d’excitation. Bon, tel joueur a été repêché par telle ligue, aha, quelques instants de t’en penses quoi? Hm, mauvais choix. OK, retour à la normale. Mais quand Éliane et Rachel ne sont pas revenues au générique? La folie furieuse. «Comment ÇA?!?!» «Scandale!» Alors, du vide, Barmaids? Non. Du bonheur – et des beaux cheveux. (Natalia Wysocka)

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