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L’âge d’or d’Ezra Miller

Photo: Warner Bros.
Gregory Wakeman - Metro World News

Les dirigeants de Warner Bros. ont manifestement un faible pour l’acteur Ezra Miller.

Non seulement a-t-il un rôle important dans la série Fantastic Beasts avec le personnage de Creedence Barebone, rôle qu’il reprend dans The Crimes of Grindelwald, mais il incarne aussi à merveille Flash, un des héros les plus appréciés du mal-aimé univers DC Comics.

Cette affection est réciproque. «Je vais vivre et mourir avec les Warner», a-t-il insisté lors d’un entretien avec Métro.

Les studios Warner Bros. sont peut-être le meilleur endroit pour lui permettre de bâtir ses personnages uniques.

«Je suis tout à fait d’accord. Le studio est à un moment de son histoire où il peut se permettre de nouvelles choses et afficher un réel souci artistique.»

«Ce que j’ai trouvé ici, c’est une famille constitué de gens fabuleux. Pas seulement une machine à faire de l’argent. Ça m’a agréablement surpris.»

L’acteur de 26 ans voit sa relation avec le studio se consolider encore davantage dans l’avenir, puisqu’il considère que Warner Bros. sera à l’avant-garde de ce qu’il nomme «le premier véritable âge d’or du cinéma».

«C’est une époque où toutes les ressources du cinéma populaire sont mises à la disposition d’une démarche artistique aussi intéressante que celle du premier âge d’or d’Hollywood [des années 1930 aux années 1950], mais sans être raciste, sexiste ou intolérante face aux autres cultures.»

Pour l’instant, les pensées de Miller sont tournées vers Fantastic Beasts: The Crimes Of Grindelwald. Situé dans le Paris des années 1930, le deuxième chapitre de cette série qui précède Harry Potter propose une intéressante palette de personnages.

«Par sa seule présence, elle nous fait sentir bien. Elle est parfaite.» –Ezra Miller, comédien, à propos de la présence de J.K. Rowling sur le plateau de Fantastic Beasts: The Crimes Of Grindelwald

Dans ce nouvel opus, le très mystérieux Creedence Barebone se rapproche du sorcier Grindelwald, qui s’oppose à Albus Dumbledore (Jude Law) et à Newt Scamander (Eddie Redmayne).

«Si vous êtes un fan, vous allez être sous le choc après avoir vu ce film, explique-t-il. Ça réunit l’univers d’Harry Potter, celui de la magie, l’histoire, des événements actuels, des rires, des idées nouvelles, tout ce que vous voulez.»

Celui qui s’est fait connaître dans l’adaptation cinématographique du livre-culte We Need to Talk About Kevin a aussi la chance de travailler avec J.K. Rowling, une idole de jeunesse.

«Je lui fais entièrement confiance, dit-il à propos de l’auteure d’Harry Potter, qui signe également le scénario. Parce que c’est mon écrivaine favorite. Elle et David [Yates, le réalisateur] travaillent si fort au scénario. Ils savent où ils vont.»

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