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TLMEP: Yvon Deschamps, le «roadie»

Photo: Radio-Canada

Plutôt discret dans l’espace public depuis sa retraite, l’humoriste Yvon Deschamps était de passage sur le plateau de Tout le monde en parle (TLMEP), dimanche. Il accompagnait sa femme Judi Richards et leurs deux filles, Karine et Sarah-Émilie, pour présenter un album familial.

Les trois femmes se sont réunies pour enregistrer l’album Héritage, un ensemble de reprises en français et en anglais de pièces populaires telles que Quand les hommes vivront d’amour ou Bridge over troubled water.

L’album s’ouvre sur Aimons-nous, qui a d’abord été écrite et interprétée par Yvon Deschamps, une des 10 meilleures chansons «au monde», a blagué le principal intéressé.

«C’est certain que j’ai beaucoup entendue [Aimons-nous], mais quand c’est ta propre famille, c’est nouveau», a-t-il lancé, complimentant les voix des femmes de sa vie.

Et pendant que celles-ci donnent des représentations, que fait Yvon Deschamps? «Je regarde, je suis chauffeur, je vais garder les petits-enfants pendant qu’elles répètent», a-t-il répondu à l’animateur Guy A Lepage.

La famille Deschamps a aussi fait part de son engagement communautaire et environnemental, eux qui ont notamment signé Le Pacte. Critiqué parce qu’il possède une Bentley ayant appartenu à Charlie Chaplin, Yvon Deschamps a apparu visiblement étonné d’avoir été attaqué pour cette raison. «Quel est le rapport? Elle ne marche pas!» a-t-il lancé. «Que tu fasses 4 M$ ou 4000$ par année, l’idée, c’est que chacun on fasse un effort pour l’environnement», a poursuivi Judi Richards.

«Une chose est sûre, Guy: j’ai 83 ans, je ne me pitcherai pas dans le trafic en bécique»! – Yvon Deschamps, blaguant sur sa contribution environnementale

M. Deschamps a aussi profité de son passage à l’émission pour appeler à l’aide du public pour sa fondation, qui vient en aide aux jeunes du quartier Centre-Sud à Montréal. Son organisme de bienfaisance cherche à récolter un peu moins de 2M$ pour atteindre son objectif de 10M$ qui permettra d’agrandir les locaux et d’assurer le maintien des programmes à long terme.

«Je vais partir à moment donné. On voudrait que ça continue», a-t-il plaidé.

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