Soutenez

Quatre questions (pas vraiment) existentielles sur Planes

Photo: Walt Disney pictures

Dane Cook prête sa voix à un des avions de Planes.

Le récent film d’animation de Disney, Planes (Les avions), reprend l’univers de Cars et de Cars 2. Mais après avoir visionné le film, une foule de questions existentielles planaient dans notre tête. Nous avons donc décidé de les poser à Dane Cook, qui prête sa voix à Dusty, l’avion-héros du film. «Je ne sais pas s’il faut se poser autant de questions profondes en regardant Planes», nous a-t-il lancé. L’acteur s’est tout de même prêté au jeu.

Votre personnage, Dusty, est un avion agricole qui pulvérise des produits sur des champs tous les jours. À qui sont destinées les récoltes?
C’est purement esthétique. Le village de Propwash Junction devait avoir l’air vivant. Alors on y a ajouté des champs!

Si les bagnoles et les avions coexistent dans un même univers, les avions – plus gros, plus rapides et plus forts – ne dominent-ils pas les bagnoles?
Les avions sont des pièces d’ingénierie plutôt passives! Et je crois qu’ils aiment bien leurs frères bagnoles. Les avions sont très pacifiques.

[pullquote]

L’expression «panne de moteur» est utilisée dans le film. Ne signifie-t-elle pas la mort d’un avion?
Non, ça signifie simplement que l’avion a une crampe. C’est pareil quand je vais faire mon jogging. Parfois, j’ai une «panne de moteur». Alors, je dois faire une pause et prendre un peu d’eau.

Comment définit-on la personnalité d’un avion? Combien de parties faut-il changer avant qu’un avion en devienne un autre?
C’est comme avec les humains. Vous pouvez être opéré et en ressortir avec un rein en moins. On peut aussi vous transplanter un nouvel organe. Ou vous ajouter un stimulateur cardiaque. Ça ne change pas la personne que vous êtes.

Planes
En DVD dès mardi

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.