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Livres: questions en rafale à l’auteure Carmen Robertson

Photo: Collaboration spéciale

Carmen Robertson habite à Québec. Elle a fait des études en littérature, puis en orientation scolaire et professionnelle. Elle travaille à temps partiel comme consultante en gestion de ressources humaines. En 2010, elle a terminé une maîtrise en création littéraire.

La fugueuse, son deuxième roman, raconte l’histoire de la difficulté d’attachement. Il s’agit d’un drame familial, une histoire inspirée d’une catastrophe aérienne réelle.

Quel est votre livre de chevet en ce moment?
L’art français de la guerre, d’Alexis Jenni, le dernier prix Goncourt.

Que faites-vous quand vous n’écrivez pas?
Je travaille comme consultante en gestion de ressources humaines à temps partiel et je joue au golf.

Qui sont vos auteurs étrangers préférés?
Carlos Ruiz Zafón, Daniel Pennac, Amos Oz.

Quel est le livre que vous avez le plus aimé?
À la recherche du temps perdu, de Marcel Proust

Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire?
J’ai toujours eu envie d’écrire depuis que je suis toute petite. Quand j’ai commencé à écrire, je me fabriquais de petits livres.

Qui sont vos auteurs québécois et/ou canadiens préférés?
Margaret Atwood, Dany Laferrière, Antonine Maillet.

Vous glissez-vous dans la peau de vos personnages?
Le plus possible parce que je veux, à travers ces personnages, exprimer quelque chose de moi-même. Si je ne les habite pas, ils ne parleront pas.

Quelles sont vos routines d’écriture?
Je change d’endroit et je m’isole pendant une période de temps, une quinzaine de jours, et j’écris de manière intensive.

La fugueuse
Éditions Guy Saint-Jean 

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