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Cette semaine, on craque pour: La mélodie du bonheur, Honeymoon, Camp Takota…

Cette semaine, on craque pour… La mélodie du bonheur, Honeymoon au Cinéma Dollar, Camp Takota, Noël avec les Petits Violons, Casse-Noisette, It’s A Wonderful Life au cinéma et Mes Dinky.

Melodie du bonheur1. La mélodie du bonheur
La comédie musicale mise en scène de manière grandiose par Denise Filiatrault est de retour à Montréal et on se fait un plaisir de retourner se faire chanter Les joies quotidiennes, Edelweiss et autres par la pétillante distribution, avec en tête les imposantes voix du baryton Etienne Dupuis (séduisant Capitaine Von Trapp) et de l’attachante Maria de Catherine B. Lavoie. À la salle Pierre-Mercure jusqu’au 4 janvier. (Jessica Émond-Ferrat)

2. Honeymoon au Cinéma Dollar
Deux amoureux vraiment amoureux se rendent dans un chalet pour leur lune de miel. Mais après les délices du début, le climat, ish, change. La jeune mariée devient irritable, se plaint de crampes d’estomac et oublie de passer ses toasts dans du lait avant de faire son pain doré (un signe qui ne ment pas). Que se passe-t-il?! Avec ce premier film, l’Américaine Leigh Janiak ne bouscule pas les codes de l’horreur (couple isolé dans les bois, épisodes de somnambulisme), mais elle crée des ambiances inquiétantes, portées par deux acteurs solides (dont Rose Leslie – alias Ygritte, pour les fans de Game of Thrones). (Natalia Wysocka)

3. Camp Takota
Besoin d’un film qui réchauffe l’âme? Essayez la comédie indie Camp Tatoka sur Netflix. Les actrices Grace Helbig, Hannah Hart et Mamrie Hart (trois stars sur YouTube) jouent des amies d’enfance qui s’allient pour sauver un camp de vacances de la faillite. Oui, l’histoire est prévisible, mais les images sont magnifiques. et les dialogues sont naturels et remplis d’humour. (Josie Desmarais)

4. Noël avec les Petits Violons
S’il y a un album à se procurer pour le soir de Noël, c’est celui-là. La réédition des pièces du concert de Noël des Petits Violons, dont Jean Cousineau a signé les arrangements il y a 20 ans, comprend le superbe Concerto pour la nuit de Noël de Corelli ainsi que des airs traditionnels et folkloriques. Bref, un disque festif très complet. (Jessica Émond-Ferrat)

5. Casse-Noisette
Il y a des spectacles qu’on peut revoir encore et encore, et le Casse-Noisette des Grands Ballets canadiens en fait partie. Rien de tel pour se mettre dans l’ambiance de Noël que les airs si connus de Tchaïkovski, les costumes et les décors colorés (on s’émerveille encore aujourd’hui devant la valse des flocons) et les chorégraphies impressionnantes. Un classique à revoir à la Salle Wilfrid-Pelletier jusqu’au 30 décembre. (Jessica Émond-Ferrat)

6. It’s A Wonderful Life au cinéma
On vous a suggéré un disque et un spectacle; pourquoi pas un film, aussi? On adore l’idée d’avoir l’occasion de voir sur grand écran un des classiques du temps des Fêtes, It’s a Wonderful Life, de Frank Capra, film en noir et blanc dans lequel Jimmy Stewart joue un homme au bord du suicide à qui un ange montre ce que son entourage serait devenu s’il n’était jamais né. Au cinéma Banque Scotia, samedi et mercredi à 12h30 et lundi à 19h. (Jessica Émond-Ferrat)

7. Mes Dinky
Jusqu’à présent, la collection Pomelo des éditions La Pastèque (des faux «guides pratiques» en bandes dessinées) ne nous a pas déçus, et son quatrième titre, Mes Dinky, de Rémy Simard, continue à séduire. Avec un humour bon enfant et craquant et ses dessins si caractéristiques, l’illustrateur et bédéiste partage avec les lecteurs la naissance de sa passion pour les petites voitures de collection. À offrir en cadeau ou à découvrir pendant les vacances de Noël! (Jessica Émond-Ferrat)

On se désole pour…

Cartes de Noël électroniquesLes souhaits groupés
C’est merveilleux, recevoir une carte de Noël. Vraiment. Quand c’est personnalisé, senti, sincère, on trouve ça mieux qu’un cadeau. Ben mieux. Mille fois mieux. Reste que, parmi la liste des irritants certes banals, mais néanmoins gossants, on classe ces cartes électroniques, envoyées à 450 personnes en même temps, sans en-tête, mention de prénom, rien, qui inondent nos boîtes courriels en ce mois de décembre et qui nous souhaitent de «Joyeuses Fêtes!» devant un décor de bonhommes de neige, de flocons ou de lutins qui dansent. On s’en fout-tu? Oui. Mais on vous souhaite de Joyeuses Fêtes quand même (à vous et à 449 autres personnes lambda). (Natalia Wysocka)

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