San Andreas: menace naturelle

Dwayne Johnson raconte à Métro pourquoi le nouveau film dont il tient la vedette, San Andreas, vous fera… trembler!

Pas de doute, Dwayne «The Rock» Johnson conserve son titre de roi du film d’action, lui qui est à l’affiche de deux blockbusters ces derniers mois. Après être apparu dans Fast and Furious 7 aux côtés de Vin Diesel et de Jason Statham, il fait littéralement trembler la compétition avec son nouveau film, San Andreas, qui, à l’aide d’effets spéciaux spectaculaires, montre ce qui pourrait réellement arriver si un tremblement de terre de magnitude 9 venait à frapper la Californie.

Comment l’action dans San Andreas était-elle différente de celle de vos autres films à succès?
C’est plutôt le style qui est différent: l’action est effrayante, mais elle est purement basée sur la nature, sur la réalité, sur des recherches de vrais scientifiques, des sismologues qui ont travaillé au scénario avec nous. C’était un vrai défi, parce qu’eux-mêmes disaient: «L’histoire que vous tournez pourrait véritablement arriver.» C’est pour ça qu’il y a tant d’action, parce qu’un tremblement de terre pourrait générer un tsunami.

Et le fait de travailler avec des effets spéciaux en 3D, est-ce que ça change beaucoup du cinéma conventionnel?
C’est la partie la plus fascinante du travail. Vous avez déjà vu ce qu’on fait quand on tourne devant un écran vert, en faisant semblant qu’un monstre est en train de nous attaquer alors qu’il n’y a rien, en réalité? La différence avec ce film, c’est que le monstre, c’est la nature. Et la 3D est encore en progrès. J’avais déjà expérimenté ça dans Journey 2: The Mysterious Island, dans lequel on utilisait la technologie que James Cameron a créée pour Avatar. Et l’élément de 3D dans San Andreas est formidable.

«San Andreas est un film excitant, qui divertit et qui informe.» – Dwayne Johnson, affirmant de son dernier film, San Andreas, qu’il est «encore meilleur que les précédents»

Vous considérez-vous comme un nouveau héros d’action ou aimez-vous mieux être comparé à Arnold Schwarzenegger?
J’apprécie les comparaisons. Quand j’ai commencé dans cette industrie, au début des années 2000, il y avait Bruce Willis, [Sylvester] Stallone et Schwarzenegger. Les meilleurs, de fantastiques étoiles du cinéma. Et tous trois m’ont soutenu dans ma transition quand je suis arrivé à Hollywood. C’est quelque chose que j’apprécie, mais mon but était de travailler dans différents styles de films. Franchement, j’ai toujours été préparé à échouer, parce que je n’ai pas de formation d’acteur. Mon école, c’était l’arène de lutte devant 50 000 personnes chaque soir. Mais je voulais me diversifier, faire de la comédie, des trucs du genre. Et aujourd’hui, je suis là où je voulais arriver. Je ne veux pas être l’ultime vedette de film d’action, je veux plutôt avoir une bonne carrière et faire divers types de films, et de gros films également.

San Andreas
En salle dès vendredi