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Couverture d’Osheaga 2015 en direct

Photo: Josie Desmarais

Métro passe toute la fin de semaine à Osheaga. Revenez souvent sur cette page pour découvrir nos photos et articles sur le festival de musique de Montréal!

Jour 3

22h10 – The Black Keys
Par Anicée Lejeune
Après trois jours de musiques aussi éclectiques qu’intenses, c’est le blues rock des Black Keys qui est venu clore cette 10e édition du festival Osheaga. Le chanteur et guitariste Dan Auerbach et le batteur Patrick Carney ont envoyé du lourd dès leurs premiers accords, en balançant l’explosive Dead and Gone de leur album Camino. Face à eux la foule en liesse hurlait à chaque riffs de guitare. La formation de l’Ohio a essentiellement interprété les succès de ses anciens albums tels que Gold on The Ceiling Rock ou encore Howling For You. Seul bémol, en ce qui nous concerne, le duo n’a joué que deux morceaux (Gotta Get Away et Fever) de Turn Blue son plus récent album. Mais les milliers fans, eux, sont repartis comblés!

The Black Keys

20h30 – Alt-J

alt-J

20h – Edward Sharpe

Edward Sharpe

18:10 – Hot Chip
Par Anicée Lejeune
L’ambiance est montée d’un cran dimanche en début de soirée lorsque Hot Chip est montée sur la scène de la Montagne. Drôlement accoutrés, (on se souviendra surtout du short métallique et des bas rose fluo enfoncés dans des souliers orange du co-chanteur Alexis Taylor), les membres du groupe britannique ont déversé leur son rétro électro/pop à la foule en délire. La formation n’a pas perdu de temps à faire la jasette, elle a plutôt voulu en donner le maximum en enchaînant ses succès comme Ready For the Floor, I Feel Better ou encore Easy to Get pour faire danser les milliers de fans. Bref, Hot Chip avait la patate et ils l’ont donné au public!

18h00 – First Aid Kit

La foule venue accueillir le duo suédois First Aid Kit était vraiment nombreuse. La performance, elle, était bien à la hauteur de cet intérêt. Les talentueuses sœurs Klara et Johanna n’ont pas beaucoup échangé avec le public, mais elles étaient souriantes et rayonnantes. Leur folk souvent épique, et parfois un peu plus rock ou pop, est vraiment accrocheur. Une belle première fois à Osheaga.

First Aid Kit

17h30 – Charli XCX


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16h35 – Future Islands
Par Anicée Lejeune
Quand le chanteur Samuel T. Herring est arrivé, clope au bec, sur la scène de la Montagne, rien ne laissait présager qu’il donnerait le coup d’envoi d’un party endiablé. Le spectacle de Future Islands a démarré sur les chapeaux de roues! La formation rock originaire de Baltimore a certainement offert l’un des spectacles les plus explosifs de la fin de semaine. La présence déjantée et les déhanchements lascifs du chanteur et leader du groupe y sont certainement pour beaucoup. Comme possédé, l’expressif Samuel Herring chantait avec une voix allant parfois jusqu’au death metal, s’adressant tantôt au ciel, tantôt à sa main, se léchant les doigts avant de se jeter par terre et de se relever d’un bond. Le groupe a envoyé à la chaîne son rock électro ne laissant aucune seconde de répit au public. On a pu entre autres danser sur A Dream of You And Me (voir vidéo ci-dessous) ou encore Seasons. Future Islands nous a littéralement laissée bouche-bée!

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16h15 – Father John Misty

Father John Misty a offert une belle performance, dansant, jouant avec la foule et ne se prenant pas trop au sérieux. Il a interprété plusieurs chansons de son plus récent album, I Love You Honeybear et quelques une du précédent, Fear Fun. Les fans de folk-barbu étaient comblés. Lire la suite de l’article, par Andréanne Chevalier

15h – Thylacine

14h40 – James Bay

14h37 – Raury
Le jeune (19 ans!) Raury s’est fait attendre plus d’une dizaine de minutes sur la scène verte, à cause de ce qui semblait être un mélange de problèmes techniques et d’équipe pas prête. Arrivé en sautant et en courant sur scène, vêtu d’une salopette de jeans sans chandail et d’un chapeau pâle qui lui donnait un look fermier, l’Américain de la Géorgie qui fait dans le hip-hop/soul a invité le public, à plusieurs reprises, à «entrer dans son monde».
Lire la suite de l’article, par Andréanne Chevalier

 13h – X Ambassadors

12h38 – Jessica Hernandez and The Deltas

Jour 2

21h20 – Kendrick Lamar

Kendrick Lamar_0036

Voir le reste des photos de Kendrick Lamar.

21h11 – Caribou
Caribou sait faire danser une foule comme s’il n’y avait pas de lendemain pendant une (trop) courte heure. Ouvrant son spectacle avec Our love, tirée de son plus récent album du même nom, le Canadien et ses trois musiciens ont transformé la scène verte d’Osheaga en boîte de nuit à ciel ouvert pour ce dernier spectacle de la journée, avec en arrière-plan les feux d’artifice de La Ronde. Un spectacle mémorable.
Lire la suite de l’article, par Marie-Lise Rousseau

Caribou Osheaga
Voir le reste des photos de Caribou.

20h21 – Ariane Moffatt

20h15 – Kygo met le feu à la scène, littéralement

19h37 – Weezer

19h12 – Nas

18h20 – Interpol
Dès les premiers riffs de guitares, Interpol a donné le ton, ça sera rock, très rock! Et on n’en attendait pas moins de la formation new yorkaise. Paul Banks et sa bande, qui avaient également donné un concert au Métropolis la veille, ont été fidèles à leurs habitudes. Complices et un brin désinvoltes, les membres d’Interpol ont présenté certains des titres de son plus récent album El Pintor, comme All The Rage Back Home, My Desire ou encore Anywhere, sans pour autant délaisser ses morceaux plus anciens. Une performance exécutée à la perfection malgré la forte pluie et les rafales de vents qui ont traversé le site pendant une vingtaine de minutes. Interpol est resté de glace face à la météo, tout comme la foule…

Interpol_0676

17h40 – Patrick Watson
Par Anicée Lejeune

C’est sur une scène soigneusement décorée de sphères lumineuses entourées de boas rouge, dont s’échappait parfois de la fumée, que les chœurs de Patrick Watson vêtus de noir et de rouge, ont donné la première note de ce qui allait être un moment hors du temps. La foule impatiente scandait «Patrick !!». Et puis enfin, des cris de joie ont retenti lorsque le Montréalais d’adoption est apparu sur scène. Tantôt assis derrière son piano, tantôt debout, ukulele entre les mains, Patrick Watson, accompagné d’une section de cordes, de cuivres et une autre de percussions, a joué des titres de son plus récent album, Love Songs For Robots, ainsi que certains des succès de ses précédents albums. Si ses mélodies sont planantes, Watson, lui, était pétillant, courant vers la foule, descendant même devant la scène pour saluer ses fans. S’adressant au public en français et en anglais, il l’a invité à faire des «pom pom pom pom» sur sa superbe Adventures In Your Own Backyard. Tel un chef d’orchestre, Patrick Watson a fait la pluie et le beau temps sur le festival. Alternant entre ambiance atmosphérique et ambiance féérique, il a réussi à faire fuir la pluie qui n’a pas osé gâcher ce si beau spectacle.

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17h20 – Ben Harper And The Innocent Criminals
L’année 2015 marque le grand retour de Ben Harper avec les Innoncent Criminals après une pause de huit ans. Le bonheur de jouer de nouveau ensemble était palpable entre les musiciens, mais la connexion avec le public n’a pas eu lieu comme on l’espérait lors de leur performance sur la scène de la rivière.
Lire la suite de l’article, par Marie-Lise Rousseau

Ben Harper

16h50 – Christine and the Queens

16h11 – St. Vincent

15h37 – Young The Giant

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14h50 – Seoul
Par Anicée Lejeune
Notre journée musicale a débuté en douceur avec les gars de Seoul. Seoul? Non, ils ne viennent pas de Corée du Sud, mais bien de Montréal. «On habite juste de l’autre côté du fleuve», a lancé en anglais le chanteur et claviériste de Seoul. Devant un petit public, le jeune groupe anglo-montréalais a présenté les pièces électro/pop de son premier album I Become a Shade. Un brin gêné mais heureux le groupe a confié que «c’est la première fois qu’[ils montent] sur une scène d’Osheaga et qu’[ils participent] à ce genre d’événement». Attroupé autour de la petite scène de la Vallée ou assis dans l’herbe et dans les estrades qui encerclent la scène, le public, qui découvrait ou qui avait déjà entendues les titres de Seoul écoutait attentivement la prestation de moins d’une heure de la formation montréalaise. On les reverra probablement sur une scène un peu plus grande dans quelques temps.

Seoul

14h20 – Karim Ouellet
Quelques centaines de fans attendaient Karim Ouellet et ses invités sous un soleil de plomb samedi après-midi. «Ils annonçaient des risques d’orage. C’était pas vrai, c’était de la marde», a lancé le principal intéressé plus tard dans son spectacle. Spectacle qui a fait taper des pieds et des mains du début à la fin.

Lire la suite de l’article, par Marie-Lise Rousseau

13h13 – Bernhari

Jour 1

22h02 – Florence and the Machine

Florence and the Machine

Probablement l’un des plus attendus de la 10e édition du festival Osheaga, le spectacle de Florence + The Machine a dépassé les attentes et s’est même avéré être une performance exceptionnelle. Alors que la foule réclamait «Florence, Florence, Florence», le show a été lancé soudainement par une série de feux d’artifice tirés au-dessus de la scène, prenant la foule par surprise. Et puis ensuite, le calme. Et là, tel un ange, Florence Welch est apparue pieds nus et tout de blanc vêtue en chantant What The Water Gave Me.
Lire la suite de l’article, par Anicée Lejeune

21h – FKA twigs

20h20- Of Monsters and Men

C’est sous des rafales de vent que sont entrés sur scène les membres de Of Monsters and Men, comme si le groupe islandais avait voulu nous emmener chez eux, au bord du cercle polaire pour nous jouer leurs mélodies indie/pop accrocheuses. En 2012, la jeune formation avait déjà montré ses talents sur la petite scène Verte, et comblée la foule, en dévoilant les pièces de son premier album, My Head Is An Animal. Mais cette fois-ci, le sextet qui a gagné en assurance et en maturité s’est mérité une des scènes principales, juste avant Florence + The Machine. Et le nombre de fans présents pour les accueillir témoigne de la notoriété qu’a acquise la formation islandaise.

Lire la suite de l’article, par Anicée Lejeune

Of Monster and Men, le vendredi 31 juillet, à Osheaga 2015

20h12 – The Avett Brothers

Si l’ambiance des grandes scènes n’était pas encore bien réveillée, tout a changé dès les premières notes du groupe américain The Avett Brothers. Après quelques chansons, le groupe entier s’écoule sur le sol. Il y restera, sauf pour le batteur qui se déchaîne sur son kit. Voyez la vidéo ci-bas pour revivre ce moment d’énergie pure!
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20h11 – Stars et invités

17h54 – Milk & Bone

17h35 – The Decemberists
Vêtu d’un complet gris et soigneusement peigné, Colin Meloy, le chanteur et guitariste de The Decemberists est apparu sur scène à 17h35 tapante, ce vendredi, avec une bouteille de vin à la main et sirotant un verre de rouge. Il a débuté cette heure de musique folk avec pour seul acolyte sa guitare acoustique, avant d’être rejoint progressivement par ses six complices. Le groupe de Portland qui n’en est pas à sa première visite au festival (on les avait vu en 2009) a entonné avec simplicité et naturel les succès de ses 7 albums que la foule a repris en chœur. Généreux et bourré de mimiques, Meloy a réussi en peu de temps à tisser une proximité avec le public. Le genre de show qu’on aime écouter pour nous mettre dans l’ambiance, un peu comme si Colin Meloy et sa bande nous avait donné un concert privé au fond de notre cour.

The Decemberists

17h04 – Marina and The Diamonds

16h45 – Marina and the Diamonds
Elle est débarquée telle une jolie extraterrestre dans sa combinaison bleu électrique et ses sandales à plateformes lunaires roses. Et même si elle portait un bandeau sur lequel on pouvait lire le mot «Froot», titre qui coiffe aussi son nouvel album, c’est avec un vieux tube, Bubblegum Bitch, que Marina a lancé son set. «Uh oh, uh oh, oh!».
Lire la suite de l’article, par Natalia Wysocka

Marina and the Diamonds

16h30 Angus & Julia Stone

16h05 – George Ezra

15h44 – Run The Jewels entre en scène!
Il sait. Killer Mike SAIT réussir une entrée sur scène. Vendredi après-midi, il l’a fait au son de We Are the Champions de Queen, immortel hymne que faisait tourner son DJ. Calotte des Expos sur la tête, le rappeur de Run the Jewels s’est vite emparé du micro pour annoncer que lui et son comparse, El-P, allait «fu*k this fu*king festival up». Puis, ledit El-P est monté sur scène à son tour, l’a pris dans ses bras, tape dans le dos, tape dans le dos, et le fu*king up du fu*king festival a commencé.
Lire l’article en entier, par Natalia Wysocka.

Run the Jewels

14h58

14h05 – The Franklin Electric
Il était… comment dire?… royal. Oui, vraiment royal, l’accueil que moult et moult gens ont réservé aux indie-folkeurs de la scène locale sur la scène verte. C’était l’après-midi, on était encore en mode relaxe, et les Franklin E. ont lancé leur set, délicatement et harmonieusement. Si on voulait faire de la philosophie du lundi, on dirait que cette montée était un peu à l’image de celle, progressive et en douceur, qu’a connue la popularité du groupe, le succès d’estime discret laissant place à une reconnaissance et à un amour de plus en plus grand. Un amour réciproque aussi. Jon Matte, le chanteur, guitariste, claviériste, trompettiste, sympa et pas stressé, a d’ailleurs dit un gros merci au Québec pour tout le «love» que la province lui a donné depuis 2012. Et, peut-être pour lui en rendre un peu, de cette affection, en plus des chansons tirées de leur premier et unique album, This Is How I Let You Down, Jon et sa bande nous ont offert, cadeau!, de nouveaux morceaux. Tout en annonçant, deuxième cadeau!, que dans un mois, ses potes et lui seraient cloîtrés en studio pour sortir un nouveau long jeu. Ben là, Jon! Merci!

The Franklin Electric
Photo: evenko/Tim Snow

13h54 – Grace Porter, la première artiste à se produire à Osheaga, il y a 10 ans!

13h45 – Les tatouages métalliques ont beaucoup de succès!

13h36 – Catfish & The Bottlemen sur la Scène de la Rivière

Enchaînant les pièces, Cat&Bot nous ont, entre autres, annoncé qu’ils joueraient Fallout, ce qu’ils ont fait. Puis 26, qu’ils ont jouée aussi. Et Homesick, même chose. Et encore Cocoon. À chaque nouveau morceau, le phénomène se répétait: nom de la toune révélé, cris ravis du monde, air surpris de Van. «Oh! Oh? Thank you. Thank you!» L’accueil était si chaleureux qu’à la fin du show, que les rockeurs ont conclu avec «la dernière chanson de l’album, Tyrants», le frontman a déclaré: «C’était un plaisir absolu!», avant de se retourner vers ses copains et semi-chuchoter: «Celle-là (comprendre prestation), je l’ai aimée». Il n’était pas le seul.
Lire l’article en entier, par Natalia Wysocka.

12h40 – On est prêts!

12h – Le calme avant la tempête!

Osheaga Osheaga Osheaga

Photos: Instagram.com/osheaga

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