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Orchestre Métropolitain: Un concert empreint du romantisme slave

Orchestre métropolitain
Yannick Nézet-Séguin Photo: Collaboration spéciale

Le romantisme slave sera à l’honneur le 16 décembre prochain à l’église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, alors que l’Orchestre Métropolitain présentera son concert «Jan et Yannick». Des retrouvailles qui promettent entre le maestro Yannick Nézet-Séguin et le jeune pianiste prodige canadien Jan Lisiecki.

Le chef de l’Orchestre Métropolitain avait découvert le talent du jeune Jan en 2011, lors d’un concert dans le cadre de l’inauguration de la Maison symphonique de Montréal, raconte Kim Lajeunesse, directrice de la production artistique et de l’administration à l’Orchestre.

Jan Lisiecki est décrit par le New York Times comme «un pianiste qui rend chaque note importante»
Jan Lisiecki est décrit par le New York Times comme «un pianiste qui rend chaque note importante»

«Ç’a été un grand coup de cœur artistique pour Yannick. Il l’a invité plusieurs fois dans ces tournées depuis ce temps. Disons que ce sera son grand retour à Montréal !»
Jan Lisiecki, âgé de seulement 20 ans, est un pianiste originaire de Calgary, en Alberta. Il fait partie de l’étiquette de disques Deutsche Grammophon, «une des plus grandes», souligne Mme Lajeunesse. Le New York Times a décrit le jeune musicien comme «un pianiste qui rend chaque note importante».

«Jan a une maturité dans son jeu, une façon exceptionnelle de jouer du piano pour un jeune de son âge», affirme Kim Lajeunesse.

Les deux complices présenteront deux œuvres pendant ce concert : le Concerto pour piano de Grieg – une de ses œuvres les plus connues – ainsi que la Symphonie no 2 de Rachmaninov – une des plus ambitieuses du compositeur russe.
Cette symphonie est d’ailleurs la première que Yannick Nézet-Séguin a dirigée à l’Orchestre Métropolitain, alors qu’il était chef invité, en 1998. «Un retour aux sources», illustre Kim Lajeunesse.

La directrice de la production artistique prévoit un concert aux accents nordiques («on est en décembre, ça tombe bien!») et empreints de romantisme slave.

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