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Critiques CD: Tanika Charles, Rymz, Fabrikate et Champion

Cette semaine, l’équipe de Métro a écouté les derniers albums de Tanika Charles, Rymz, Fabrikate et Champion.

Salut!
Tanika Charles
Soul Run
Note:

C’est peut-être un album de rupture, mais pas de ceux qui vous plongent dans le marasme, le pyjama laitte et le pot de Häagen-Dazs. Plutôt de ceux qui vous énergisent et vous plaquent un sourire dans la face. Finalement, ça va. Optant pour des sons dans la plus pure tradition du Motown – cuivres qui explosent, chœurs qui groovent – la radieuse Torontoise Tanika Charles prend sa voix riche et puissante pour raconter comment elle s’est sauvée de chez son «punk ass» d’ex, au volant de sa Jeep volée. «I’m leaving!» On reste.
– Natalia Wysocka

Grand prince
Rymz
Petit Prince
Note:

Si vous ne connaissez pas Rymz, vous allez comprendre pourquoi il est considéré comme un des plus grands de la scène hip-hop au Québec après avoir écouté Petit Prince. Sur ce deuxième album solo, l’artiste nous offre des textes engageants et imagés qui nous font voyager dans un univers sombre, mais très près de la réalité. Une chose est certaine, son talent et son potentiel ne semblent pas avoir de limite. Coup de cœur spécialement pour les pièces Une fois et Demain ne suffit pas.
– Steve Lebel

Électro-rétro
Fabrikate
Bodies
Note:

Le mystérieux duo montréalais ne se contente d’emprunter à Daft Punk le fait de porter des masques : sa musique électro-house rappelle aussi vaguement les sonorités du duo français. Bodies, le premier album de Fabrikate, comporte 10 pièces fluides et cohérentes. Si cette musique nous immerge dans un état aussi festif que contemplatif, on aurait aimé y retrouver un peu plus de mordant et moins d’ambiant.
– Virginie Landry

Réjouissant
Champion
Best seller
Note:

Les fans de Maxime Morin, alias Champion, seront comblés par cet album, qui ne réinvente rien, mais qui les ramènera à son premier album adoré Chill’Em All. Le multi-instrumentiste mont­réalais offre un Best seller (il le sera fort probablement) électro entraînant et léger, dont la moitié des pièces sont instrumentales. Un gros coup de cœur pour la voix soul sensuelle de Lou Laurence (Lauren Clinton de son vrai nom) sur les pièces I Can’t Go et Life Is Good. Un très bon album d’ambiance.
– Rachelle McDuff

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