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La porte du bureau de Marie Montpetit vandalisée

Photo: Collaboration spéciale

Les employés du bureau de la députée libérale de Crémazie, Marie Montpetit, ont été surpris le 16 mars de découvrir la porte du local recouverte de plusieurs inscriptions au marqueur.

Les phrases écrites à l’encre noire semblent des slogans hostiles à la politique du gouvernement Couillard. Mais, on trouve aussi un vers extrait d’un poème de l’artiste surréaliste québécois, qui a résidé à Ahuntsic, Roland Giguère. «La main qui nous cloue au sol finira par pourrir.» Les messages sont par contre difficiles à comprendre comme : «un pavé = une coupure.» Au bas de la porte, comme une signature, on lit : «Révolution prolétaire.»

«Il n’y a pas eu d’autres dégâts occasionnés au bureau», nous a précisé un employé. Il semble que le seul bureau d’institution concerné par ces actes de vandalisme a été celui de Marie Montpetit. Le local de Christine Saint-Pierre, à Bordeaux, n’a pas connu d’événement similaire.

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