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Six projets en finale du concours Notre-Dame Académie

Photo: Robert Leduc /TC Media

Le jury a commencé à délibérer en vue de choisir parmi six finalistes les gagnants de la troisième édition du concours Notre-Dame Académie, qui vise à ouvrir de nouvelles places d’affaires sur la rue principale, entre les 6e et 19e avenues, dans un effort de relance du centre-ville de Lachine.

Les six projets retenus en finale sont: Aliments-Cibles, A.I.R.S.O.M./Centre Prisme, Espace Grange, Coopérative Royal Alexandra, Courses Ultimes Canada et L’oreille musclée.

Aliments-Cibles est un service de traiteur respectant les régimes alimentaires des principales maladies chroniques.

A.I.R.S.O.M./Centre Prisme est un service d’accueil pour immigrants et réfugiés.

Espace Grange est une boutique offrant des portes rustiques en bois de grange.

Coopérative Royal Alexandra est un regroupement d’artistes et d’organismes en promotion, production et diffusion de l’art et la culture dans le quartier historique de Lachine.

Courses Ultimes Canada est une entreprise d’organisation d’événements sportifs de grane envergure.

L’oreille musclée est un centre musical comprenant un magasin, une école de chant et de musique et des salles de répétition.

Cette année, deux bourses de démarrage d’une valeur de 31 000$ chacune seront remises aux lauréats. Les gagnants seront connus le 13 mai.

Première gagnante
Lauréate de la première édition du concours, Janie St-Pierre, copropriétaire de la boutique Au bal masqué, est membre du jury. Elle est accompagnée de Benoit Sarrazin, des Caisses Desjardins, Alison Birss, conseillère au Conseil local de développement (CLD) de l’Ouest-de-l’Île, et Ghislain Dufour, commissaire au développement économique de l’arrondissement de Lachine.

Janie St-Pierre n’a pas peur de l’engagement. Elle est présidente de l’Association centre-ville de Lachine (ACVL) depuis l’automne dernier. Elle y siège depuis un an seulement.

«Gagner la bourse de démarrage de 30 000$ a été un investissement majeur. Cela nous a permis, à Méliza Théorêt et moi, en tant que copropriétaires, d’améliorer notre espace locatif, d’avoir un inventaire plus important et d’éclaircir la voie que l’on voulait donner à notre commerce», raconte Mme St-Pierre.

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