Plusieurs candidats rosemontois ambitionnent le titre de commissaire

Julie Pinsonneault est âgée de 35 ans. Elle compte 10 ans d’enseignement au secondaire, tant au public qu’au privé, ce qui lui a permis de travailler auprès de jeunes réfugiés et de nouveaux arrivants.

« J’ai toujours pensé que les choses peuvent changer par l’enseignement », a déclaré Mme Pinsonneault.

Les projets dans les écoles sont nécessaires pour les élèves, car le développement  de la pensée passe par l’éducation, estime l’enseignante. Elle soutient la démocratie scolaire qui permet aux gens de faire des choix selon leurs valeurs.

L’une de ses priorités est le bien-être des élèves. Pour leur offrir le meilleur environnement possible, elle fera de la prévention afin de contrer différentes problématiques dans les écoles, notamment celles reliées au suicide, à l’intimidation et à la sexualité. Elle compte y parvenir en travaillant en partenariat avec des organismes locaux.

Âgé de 39 ans, Jean-François Gosselin est père de deux garçons âgés de 4 et 6 ans. Il travaille en développement économique depuis une dizaine d’années. Il siège sur plusieurs conseils d’administration, notamment celui du projet d’école alternative de La Petite-Patrie, et sur le conseil d’établissement de l’école Saint-Ambroise. Il a acquis des connaissances concrètes en gestion et en planification stratégique.   

Il s’engage à défendre les services aux élèves. Il s’engage à participer, en toute transparence, à la saine gestion des écoles et à la répartition efficiente et équitable des ressources.

Il croit que c’est important dans le contexte actuel d’austérité budgétaire, de se mobiliser, pour cela il encourage les gens à voter.

« Il faut exprimer ensemble notre attachement envers des écoles publiques de qualité qui contribuent à l’égalité des chances de nos enfants », a affirmé M. Gosselin.