Tu vendais du chocolat ! C’est pourquoi tu as sonné à ma porte, rue Christophe-Colomb, vers 21h jeudi soir.
Toi, jeune femme afro-québécoise, dans une jolie robe d’été. Tes cheveux ramassé dans un chignon. Jj’étais très embêté de ne pouvoir participer. Je t’ai dis : « Ne travaillez pas trop tard, Mademoiselle. »
Saches simplement que ta parfaite beauté m’a troublé profondément.