C’est la troisième fois que l’on se croise sur tes heures de travail, tu dois sourire à tout le monde, c’est évident, mais naïvement j’ai ce pressentiment que nos échanges de belles faces sont autre chose qu’une simple politesse. Je t’ai déjà salué de la main et tu avais l’air tellement content dans ta cage de changeur 🙂 Ça m’a réchauffé le coeur. Trop timide pour t’approcher, je lance cette bouteille à la mer par l’entremise de métro flirt, comme si tu lisais ça à temps perdu… qui sait?! Seul indice: Tu travailles le jeudi, dont jeudi dernier, en soirée.