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Rouquine à Henri-Bou

Je t’ai croisée vers 23h30, dimanche, alors que nous passions tous les deux le tourniquet du métro Henri-Bourassa. Tu étais une petite rouquine avec un hoodie et des pantalons trois-quarts noirs. Tu avais tes écouteurs et tu semblais très absorbée par ta musique. J’étais également tout de noir vêtu. Je n’ai pas osé t’approcher à une heure si tardive, je ne voulais pas te faire peur.

En tout cas, saches que j’ai eu comme une sorte de coup de foudre. Pendant un court instant, je me suis remis à rêver un peu, mon coeur s’est remis à battre. Par ta simple énergie, tu as réussi à percer une carapace aussi épaisse que la mienne. Je te remercie pour ce moment. Si je pouvais te parler un jour, ce serait encore mieux !

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