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Souffle vers le Nord

Mon coeur frissone à te voir partir. Il bat lent et lourd, il pleurt en silence. Cette expérience m’a fait comprendre que j’ai encore beaucoup de chemin à faire. Mon coeur était déchiré, ma tête voulait hurler. Je t’ai aidé du mieux que j’ai pu, du meilleur de mes connaissances, mais j’ai cette impression que ce n’était pas assez. Que je pouvais en faire plus. Le problème, c’est que si j’en aurai fais plus, j’ai peur que je me serai fait encore plus mal. Plus mal, car plus je voulais t’aider, plus je voulais t’aimer. T’aimer plus que ce que nous étions. J’ai cru pouvoir me contrôler plus, mais j’allais exploser. À quoi bon espérer, alors que ton coeur est déjà à un autre? Que tu ne me voyais pas comme je te vois? Ca me rongeait, me tuait à petit feu de l’intérieur. Je ne me souviens plus de la dernière fois que je me suis sentit ainsi, aussi dépouvu de moyens que de courage. Courage de te l’avouer, de te faire part de ce que mon coeur ressent, de tout ce qu’il voudrait te dire. C’est ainsi que cette histoire finit, car jamais je ne pourrai trouver les mots et la force de te le dire. En ce jour, mon coeur, frêle et lourd, crie pour toi je t’aime. Demain, probablement que non, et cela m’attriste encore plus. La seule personne à blâmer, c’est moi, et moi seul.

Moi, et mon amour inconditionnel.

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