Quelles emotions que j’ai vécues, de sentir ta chevelure se reposer doucement sur mon épaule. Ton arôme a remplit mon coeur, et mon âme, d’une joie que je n’ai ressentit depuis plusieurs années, j’étais ensorcelé. Tu t’étais endormie aux alentours de Cartier, ma station était Crémazie, mais je voulais rester a tes cotés. Tu t’étais éveillée à Lionel-Groulx, car le train s’était arrêté brusquement. J’aimerai pouvoir te protéger de tel soubresaut dans le future, si tu me le permets.