Soutenez

Il fut un temps qui disparait mais reste gravé

Cela fait tellement longtemps que je ne vous ai pas vu. J’oublie petit à petit votre visage par choix, mais votre nom fait renaître en moi ce que je ressentais pour vous autrefois. De l’attirance, du désir, de l’amour naissant, appelez le comme vous vous voulez. Si seulement j’avais eu le courage de vous parlez et si seulement vous aviez eu le courage de briser ne serait-ce pour une seconde les règles qui vous ont été imposées….. sachez que vous m’avez marqué et encore aujourd’hui malgré la distance et mes choix, vous restez gravé.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.