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L’amour sur les rails du transport en commun

Les regards fulgurants, mais en cachette pleurant, sans gênes en public l’avouons
L’amour, et, le désire me font souffrir. Lorsque j’ai tourné vers toi ce samedi après-midi dans ce beau nouveau métro, je n’arrive plus à baisser mes yeux de ton visage angélique, habillée modestement naturellement et légère mais c’est de la classe, un petit sourire fin comme ton nez rayonne ton astre brillant. Delà, notre histoire commence à la croiser des regards et à la croisée des chemins.
Les regards donc se sont exprimées, et les cœurs se sont expiré.
Après la fin du voyage, nous sommes séparées, les yeux arides, et les cœurs brûlés. Pourquoi il n’y a pas courage que chacun de nous fait son premier pas, pour concrétiser les vœux des regards blessants par l’intensité des échanges incessants, et ce que la chance va me sourire de te revoir
Ou le destin a décidé de te cacher dans son armoire.

Un passant blessant
Sous ton regard luisant
Dans le métro circulant
J’attends un soin urgent.
Le mal est trop cuisant.
La nuit me donne des frissons.
Et me pique comme un hérisson
Je pleure comme un nourrissant.
Et ça va durer tout le long de ton absence
Je vivrais dans la nuisance.
Toute la fin de mon existence
Voilà, aujourd’hui, je t’avoue ma souffrance.

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