j’ai envie d’hurler de pleurer, et je t’écris pour calmer cet amour ardents qui résonne sans trêve en nos coeurs…où pourrais-je encore trouver le repos si ce n’est dans ton coeur, je me laisse dériver sur les eaux, cajolé et protégé par les bercements de tes mots et par les désirs divinements éprouvé, partagé, toute en manifestant un grand respect sans jaimais oublié d’être vrai, comme une humble graine enfouie dans la terre, n’est-elle pas une formidable leçon de patience et d’espoir…on ne franchit pas tout d’un vol, peu d’oiseaux traversant locéan sans reposer leurs ailes, mais tout murît à temps et devient fruit à son heure, tout ce qui est exquis murît lentement, une arme qui s’en munit rien ne saurait l’abattre…bisou gros câlin…appel-moi!!!