Je t’ai vu le 4 out vers 8h45 à la station henri-bourassa direction côte vertu et tu as descendu à berri uquam. Dès qu’on a croisé notre regard j’ai tombé sous ton charme. Tu avais une grosse planche à roulette et un sac à dos bourgogne comme celle de ma grand mère. Ce n’est pas à mon habitude d’écrire ce genre de message mais je ne fait que penser à toi. Durant le trajet je n’ai cessé de te regardé en silence en gouzillant dans ma tête. J’aimerais qu’on puisse se rencontrer un de c’est jour.