Chère autre beauté fatale,
Je ne peux m’empêcher de jubiler à l’idée de passer encore plus de temps avec toi
après cette soirée passée aux Foufs. Je suis impatient d’avoir des discussions concernant divers conflits dans le monde avec toi, ma belle princesse de Villeray. Saches qu’aucune
riviere, fleuve ou océan ne peut nous séparer du bonheur qui nous guette. Je me rappelle
la première fois que je t’ai vu dans le metro. Tu buvais une bière d’épinette avec une paille rose et tu avais plein de miettes de chips sur ta robe bleue flash. À partir de ce moment, j’ai tout de suit su que tu serais ma cavalière. Enfin, il n’y a pas beaucoup de filles comme toi à
Montréal et en ta presence, je me sens comme le gars du Titanic.