Je te voyais tous les jours sur la Plaza St-Hubert, ensuite plus rien. Tu avais dû changer de travail. Et je t’ai revu ce jeudi matin à 9h, station Snowdon, transfert vers Montmorency. Nous étions dans le même wagon. Tu as les cheveux noirs, des yeux pâles, un look unique. Tu es une beauté unique, celle que l’on perd pour tojours. De mon côté, pas besoin de me décrire, je pense que tu sauras qui je suis.
Je m’étais dit que si je te revoyais un jour, j’allais au moins te parler… Mais non. Est-ce que le hasard me refera un si beau cadeau? Si tu lis cela, écris moi. Si je te revois, fais moi un signe… C’est fou comme une inconnue peut me manquer…
