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Bien A toi beau Papillon d’automne !

Hé oui l’automne est déjà parti pour dormir un bout de temps, je l’est vu d’ailleurs déshabiller de sont beau habille multicolores déplumer et pauser ces feuillages par terre, dommage il n’a pas de garde robe ! Quel gâchis! Et, il à laisser derrière lui un grand vide dans mon cœur d’admirateur. L’hiver est arrivé, il est déjà là!, sans tarder et même un peu à l’avance cette année, avec sont beau manteau blanc.

O toi l’hiver je t’admire aussi, mais pas pour longtemps. Je te fais ressembler à l’ours blanc polaire. Tu es très beau à te voir de loin, mais j’ai peur de toi quand tu m’approche. Soyez quand même la bienvenue chez toi.

L’automne est partir, il ma laisser dans la tristesse, car il à pris avec lui ce que j’aime. O toi beau papillon d’automne comment dois-je t’oublier ? Tu es toujours dans mon cœur, tu es renter doucement comme une chenille est tu es sortir en volant comme un paillon. J’ai été aussi heureux de te voyer chaque jour que Dieu fait, déplacer devant mes yeux dans le décor de l’automne et tu ajoute du charme au charme. J’ai resté dans la méditation, je médite sur Dieu qui ta créer quelle intelligence sublime? Quelle imagination? Et à te contempler toi quand tu déplace avec tes balancements légère est remarquable, ta robe naturelle, ton très beau sourire apaisant, tu déplace d’une une fleure à une autre, d’une rose à une autre, sur le chemin des fleurs et des souvenirs. De l’est à l’ouest du sud au nord, afin de butiner tes parfums préférer et faire ton shoping, et grailler des vitamines et le rayon du beau soleil.

J’aimerais bien tant partager avec toi ce délice visuel d’automne, profiter, assouvir, admirer ce beau cadeaux. J’aimerai bien que tu touche le bout de mes doigts et courir derrière toi pour t’attraper te caresser, te cajoler.
Quand, le rideau noir de la nuit tombe, ils nous séparent malgré nous. Je te voiyer partir rentrer chez toi pour dormir ! Et, En ce moment d’admiration, je remets en cause l’alternance du jour et la nuit et l’alternance de l’hiver et l’automne qui nous séparent, mais je dois rester Zen et sobre afin de vivre pour toi et te revoir un jour.

Aujourd’hui il me reste que tes souvenirs à remuer dans mes pensées et mon imagination qui invente un tas de chose, sache-toi bien si tu n’existe pas, j’aurais peut-être, ou surement t’inventer dans mon esprit, pour avoir le courage de vivre.

Tu es dans mon cœur et mes pensées positives, à te suivre partout, et je suis optimiste jusqu’à ce que tu reviennes! L’espoir fait vivre, mais en attendant je revis nos beaux souvenirs lointains. Et, demeurer à te rappeler sur ma mémoire et sur mes feuilles blanches, écrire, composé avec une plume qui ne dors jamais.

O toi feuille de papier blanche! Moi Je t’es bien rempli, et toi tu t’en charge à transmettre mon message à fin que chacun n’oublie.

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