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Une dédicace à tous les filles aux yeux bleues.

J’ai traversé l’océan bleu,
Le bleue de ces grand yeux doux.
Le bleue de ces yeux voluptueux.
Son regards captivant émailler de charme et de larme, ma enchevêtrer dans l’envoûtement dans sa beauté splendide, je saurais mentir, si je te dis j’ai échappé à la séduction et à la tentation.

O seigneur bienfaiteur sauve moi !
Je suis devenu prisonnier au milieu de ce large océan prodigieux étendu salée.
Enfermer dans une prison de ces yeux sucrée salée.
Sa forteresse est ces très longs cils battants.
L’oxygène certes ne me manque pas, un endroit idéal pour remplir les poumons vide de souffle d’amour.
Mais, moi j’ai besoin de ma fierté et de ma liberté.
Hier soir j’ai manqué à l’appel, personne ne sais ou je suis engouffrer.
J’ai déclenché une alerte, et te le monde à ma rescousse, la recherche plutôt resté vaine.

Mes amis, J’ai pris une aventure d’amour engageante comme un vaillant homme bleu qui brave tous les interdits.
Sans penser aux conséquences fâcheuses de la noyade.
Je ne suis pas peur ni de souffrance ni de la mort.
Plutôt c’est un souhait du cœur, palpitant et frémissant.

La peur juste est instinct naturelle qui intervient à tous les dangers émanant.
Mon achèvement pour sont amour est un vœu fou, et trop risqué.
Une mort douce dans ces yeux et un enterrement angéliques dans ces lèvres.
Et ma tombe sera embellir par ses beaux sourires reposant.

Le chemin de secours dans l’océan bleu n’existe pas. Seul le miracle de Dieu qui peut me donner la vie sauve.
Les cries et les larmes sont inutiles, j’augmente seulement le volume d’eau salée à l’océan doux et calme, par mes larmes chaudes qui peuvent me noyer davantage.

L’idée, le pouvoir, et le miracle ce sont produits simultanément.
La prière est exaucer, le ciel bleu est venu à ma rescousse.
Il à transformer tous mon corps en larmes d’eau de chance qui remplisses ces beaux yeux océaniques.
J’ai coulé doucement comme une goute d’eau humide sur une feuille d’arbre généreuse. Glisser en cascade sur ces joues rouges brasier, et j’ai fini par mourir dans ces lèvres comme souhaité. Voici ma vie de l’au-delà. Ces lèvres comme une tombe son sourire comme une douillette un repos pour toujours dans un lit éternité pardisiaque.
Nabile53lemediterraneen@gmail.com

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