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Ma douce

Une douce brise me flattait les poils de narines, j’eu tout de suite le reflex de la suivre, me faufillant à travers la foule, j’eu du endurer plusieurs odeurs putrides (dont celles de mes propres aiselles)… Mais après une longue recherche, mes narines eurent finalement ce qu’elles désirait. Mon nez se faufilla au creux de ta raie! S’il te plait, rejoin moi au metro beaubien demain a 14h!

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