A mon prince charmant. Toi, si beau malgré ton mono-sourcil disgracieux. Toi, si sûr de toi, répétant à maintes reprises « je suis le meilleur ». Je veux bien te croire, te revoir dans le bus, surprendre une de tes conversations avec ton ami, réentendre ton prénom « Hervé », si doux à mes oreilles. Tu as jeté un regard timide dans ma direction, j’ai souris, tu as détourné ton regard. Je crois que je t’aime.