Petite pouliche, tu étais dans le bureau d’à côté et maintenant tu n’y es plus. Il a fallu que tu retourne à tes anciens amours et depuis je suis triste. Tu plaisantais sur mon âge et moi je plaisantais sur tes drôles de goûts. Ta joie et tes tours me manque. J’espère qu’un jour nous nous reverrons, avant qu’on soit en marchette. Je penses à toi.