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Du Métro Papineau à Berri-UQAM, une matinée bouleversante, (corrigé)

J’étais entrain de lire le journal Métro quand tout à coup je sens un rayonnement qui me fait transpirer d’un sourire enigmatiquement rare, dès lors, je lève mes yeux et te voilà en face de moi avec une superbe jupe noire, un soulier plat noir, une coquette valise noire, une petite serviette dentelée à la francaise et de couleur noire entre tes mains, puis un joli t-shirt ayant des traits chocolats, noirs et purple fine dentelée dans les bras. Moi, je portais un t-shirt bleu à col, un jeans bleu et une paire de lunette solaire, puis un tennis gris/jaune. (Tu restais dans le métro en direction d’Angrignon et moi, je descendais à Berri-UQAM en commentant le grand impair de ne pas te parler avant ma descente bien qu’on se regardait l’un l’autre.) Soudainement, en te regardant, je ne me sens plus moi-même et j’entends au fond de moi quelqu’un qui me dit: Nzo, où es-tu? à ce moment là, je realisais que je devienne un géant de papier en présence de ton visage magnifique qui portait l’expression d’une femme au coeur tendre. Je ne crois pas dans le hasard quoi qu’il est curieux, mais je crois en toi comme la seule pouvant éclairer mon coeur à travers ton soleil d’amour, ton sens aiguisé de savoir faire, ton sourire contagieux, ton regard complaisant et surtout l’expression de douceur de tes habits qui brillera en plein minuit pour apporter de la serve à mes plantes. Je crois toute ma vie, qu’il existe toujours quelqu’un qui peut faire la différence même au plus profond de l’océan. S’il te plait!, offres-moi une raison de vivre en utilisant je.veuxt.aimer@aol.com

Hernceau, 29 juillet 2015

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