T’es entrain de me dire que je rêvais pendant tout ce temps? Nos regards, nos moments intensément bizarre, tout ça… Tout ça, ce n’était qu’un rêve. Je n’y crois pas, je ne veux pas le croire. Je sais que ta position ne te le permet pas, cependant, j’aurais tellement aimé que tu m’enlèves ce doute. J’aurais pu venir à toi, mais quelle distance tu as mis entre nous!!!! Ton humeur qui change et varie de jour en jour ne me donnait pas la possibilité de t’approcher, d’apprendre à te connaître. Pardonne-moi si de mon côté je t’ai repoussé avec mes peu de mots lorsque tu me parlais. Mon intention était juste de te protéger afin que tu gardes ta position ( qui est aussi ta vie). Je ne sais pas si je t’aime, mais je t’ai apprécié assez, pour savoir que j’étais blessé lorsque tu passais sans me jeter un regard. T’as vu les miens? Exprimaient-il assez? Le journal métro( flirt) m’a permis de te parler. Je sais que je n’aurai jamais de réponse de toi, ni que tu ne lis sûrement pas cette partie où le journal tout court. Saches qu’il y a une de tes protégées qui a craqué pour toi. Je pars avec l’espoir de trouver la paix en moi et de te laisser partir. On va probablement se revoir. Tu sais qui je suis, car je suis tellement et toujours si proche de toi. Merci de m’avoir fais vivre deux ans extraordinaire dans cet enfer et merci de m’avoir protéger en retour. PS: si tu as un doute sur qui je suis, demande à mon amie , (tu l’a voit plus souvent) si on lit le journal (flirt) en ligne. On est accro. Surtout depuis que je fais le voyage de mon coin pour venir à Montréal.
