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Harcèlement par un conseiller: Clinton consternée

In this photo taken April 6, 2017, former Secretary of State Hillary Clinton speaks in New York. A congressional committee on Thursday, April 27, 2017, asked the Justice Department to consider criminally prosecuting a technology services company that was involved in maintaining a private email server for Hillary Clinton. (AP Photo/Mary Altaffer) Photo: The Associated Press

WASHINGTON — Hillary Clinton dit avoir été «consternée» par les accusations d’harcèlement sexuel contre l’un des principaux conseillers de sa campagne pour l’investiture démocrate en 2008.

Dans deux messages publiés sur Twitter vendredi, Mme Clinton a révélé avoir téléphoné à la présumée victime, une ancienne employée de sa campagne, pour la féliciter d’avoir porté plainte.

L’ex-secrétaire d’État a dit avoir voulu s’assurer que la jeune femme savait «ce que toutes les femmes devraient savoir: nous méritons d’être entendues».

Ces messages surviennent après que «The New York Times» eut rapporté que Hillary Clinton avait refusé de congédier le conseiller visé, Burns Strider, en dépit des recommandations de son directeur de campagne en ce sens.

Mme Clinton n’a pas expliqué pourquoi M. Strider était demeuré au sein de sa campagne.

Selon «The New York Times», le salaire du conseiller avait été retenu pendant plusieurs semaines et il avait reçu l’ordre de suivre une thérapie, ce qu’il avait refusé de faire.

Burns Strider n’a pas répondu aux demandes d’entrevue du «New York Times».

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