Maradona frappe son ex-copine!

Il y a presque deux semaines, des images vidéo montrant Diégo Maradona s’en prendre physiquement à son ex-copine  a fait un buzz planétaire. Cet assaut colérique du dieu des stades de soccer, l’idole tant vénérée à travers la planète, a semé l’émoi en Argentine.

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Dans cette vidéo virale, on voit bien l’ancien numéro 10 regarder la télévision, avant de s’énerver, se lever de son divan et hurler sa colère en se dirigeant vers son ex-copine de 24 ans, Rocio Oliva. Titubant et l’air ivre, Maradona marchait en gueulant, car, paraît-il, il ne supportait pas que sa copine passe son temps à ne faire que manipuler son téléphone cellulaire. Une fois à sa hauteur, l’idole de milliards de terriens semble frapper de ses mains à deux reprises son ex-petite-amie.

De ce que les médias argentins ont rapporté, Maradona a crié: «Tu ne fais que regarder ton téléphone!», et Rocio lui a répondu «Arrête, idiot! Pourquoi ne pourrais-je pas regarder mon téléphone?», avant de lui demander «Arrête, arrête, arrête de frapper, Diego!»

Malgré cette vidéo accablante, Diego Maradona assure ne pas avoir frappé son ex-compagne. Il a même contacté les médias pour donner sa version des faits. Il a ainsi affirmé: «J’ai bien attrapé son téléphone, mais je jure que je n’ai jamais levé la main sur une femme.»

La journaliste argentine qui a échangé avec le mis en cause à ce sujet explique que quand Maradona s’est rendu compte que Rocio était en train de le filmer, ça ne lui a pas plu et il ne comprenait pas pourquoi elle faisait ça, c’est pour cette raison qu’il s’est dirigé vers elle et lui a arraché le téléphone.

D’après plusieurs médias, notamment l’hebdomadaire français l’Express, en juin dernier déjà, Rocio Oliva avait assuré être victime de violences de la part du footballeur. «Je vais le dénoncer. Il y a eu des coups et j’ai des photos. Il joue gros et j’ai mes cartes pour jouer gros moi aussi», c’est ce qu’aurait alors dit la jeune femme, selon le quotidien argentin Clarin.

Quand j’ai vu cette vidéo virale mettant en cause mon idole d’enfance, le fameux numéro 10 du Boca Junior (Argentine), du Barça (Espagne), de Napoli (Italie) et de l’Albiceleste, l’équipe nationale argentine de soccer, je me suis senti floué! Surtout pas lui. Hélas!

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