La pédophilie, un organisme sans but lucratif!

Photo: Getty Images/iStockphoto

Il y a de quoi être dégoûté quand cette nouvelle a été rendue publique par plusieurs médias: le «club social» des 14 pédophiles, qui a défrayé récemment la chronique au Québec, est bel et bien associé à un organisme sans but lucratif (OSBL)!

Je n’en revenais pas. J’ai aussitôt cherché en ligne sur le Registraire des entreprises du Québec et un organisme appelé Les Amis de toutes les minorités sexuelles (LATMS) existent effectivement depuis 2011…

D’après le recoupement des révélations de CHOI 98,1, La Presse+ et le Journal de Montréal, cet OSBL se voue à promouvoir ses actions et à offrir des services de sécurisation des communications.

Pire, une dizaine de sympathisants de ce groupe sont toujours en liberté, dont certains ont tenté de se rapprocher d’enfants.

C’est hallucinant qu’un tel OSBL ait réussi à berner les autorités. Pire, il est intrigant qu’il ait mis au vu et au su de tous des ressources à la disposition des pédophiles pour créer, élargir, organiser et entretenir leur réseau!

Cet organisme loufoque se vante même d’être à la défense d’une minorité sexuelle taboue constituée de pédophiles, d’hébéphiles ou de pédérastes.

Je vous l’avoue, à part les pédophiles, c’est la première fois que j’entends parler d’hébéphilie ou de pédérastie.

Mon dictionnaire électronique définit la pédérastie comme une attirance sexuelle ressentie par un homme adulte pour les jeunes garçons ou une relation sexuelle entre un homme adulte et un jeune garçon, par contre, il n’a pas été en mesure de déterminer l’hébéphilie.

C’est Wikipédia qui est venu à ma rescousse. L’hébéphilie est donc une forme de désir sexuel d’un adulte pour les adolescents, principalement des mineurs légaux, mais majeurs sexuels donc jugés aptes à consentir à une relation sexuelle. Tabarouette!

Au-delà de toute morale ou valeur, quelle qu’elle soit, au Québec, sommes-nous rendus à faire la promotion de la débauche en offrant nos enfants et non jeunes comme proies accessibles à des prédateurs adultes avec le soutien de l’État?

Certes, après coup, nos autorités essayent de dissoudre LATMS, mais comment expliquer que cet OSBL a réussi à offrir impunément des services de sécurisation des échanges informatiques pour l’organisation de consultations, de rencontres ou d’échanges entre pédophiles loin de la traque policière sur internet?

Comment les administrateurs de cet OSBL continuent-ils de se vanter publiquement et sans gène d’être des militants à la défense des monstres pédophiles et leurs semblables?

C’est scandaleux!

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