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Vers une première Semaine du «steamé»

Une nouvelle recherche de la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC révèle qu’une alimentation riche en aliments ultra-transformés est associée à l’obésité, au diabète et à l’hypertension artérielle. Photo: Archives

Après la Semaine de la poutine et celle du burger, voilà que sera célébrer celle du «steamé» à partir de vendredi et jusqu’au 29 janvier. Un prélude à la Semaine de la poutine qui se tiendra du 1er au 7 février.

L’idée a d’ailleurs été inspirée par cette Poutine Week qui se tient depuis quelques années à Montréal. Trois amis, qui travaillent en communication à Concordia, ont eu l’idée de rendre hommage au «steamé», ce hot-dog vapeur bien ancré dans les moeurs montréalais. De façon très informelle, ils ont lancé l’idée et de fil en aiguille, les internautes ont ajouté sur le site leur «snack à patate» favori où déguster un «steamé».

Selon Joshua Davidson, l’un des instigateurs de la «Semaine Steamé», tout le monde a des souvenirs autour d’un «steamé».

Même si je suis plus «hot-dog rôti», quelques fois par année, par nostalgie peut-être, j’ai besoin d’un petit vapeur sur le pouce, avec du chou et de la moutarde jaune. Et quand l’envie me «pogne», je m’arrête habituellement à La Québécoise dans mon cher quartier Hochelaga. La Québécoise fait d’ailleurs partie des quelque 40 adresses  qui participent à la Semaine du steamé, à côté des Lafleur, Mont-Royal Hot-Dog, Montreal Pool Room et autres Belle Province.

À une époque où les nitrites sont maudites et où l’on mange nos hot-dogs réinventés et plus «gastronomiques» ou encore à l’européenne, un petit hot-dog vapeur à 1,10$ à la pataterie du coin, ça te «r’place le Canayien»!

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