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Canadien: une bonne attitude pour faire l’approche

Profitons de ce beau lundi avant la «snowpocalypse» pour revenir sur les dernières déclarations de Michel Therrien en point de presse*.

À propos de Pierre-Alexandre Parenteau, qui est toujours incommodé par une blessure au mental, le coach a expliqué qu’il «s’est refaite faite frappé lors du match à Ottawa et le lendemain, il se sentait pas bien». Excellent emploi du verbe «refaire faire» pour souligner une double mise en échec.

Heureusement, on va attendre qu’il soit bien guéri avant de le renvoyer sur la glace: «si y’est en mesure de qu’il se sent bien physiquement, y va jouer». Ça semble un bon plan.

De toute façon, un joueur commotionné jouerait tout croche. Par contre, un joueur muté à une autre position, comme Galchenyuk, pourrait être désorienté. Peu importe, Therrien veut qu’il fasse de son mieux: «on veut qui performe, on veut qui sente naturel sur la patinoire». D’abord qu’il prend sa douche après, on n’y voit pas de problème.

De toute façon, tout est une question d’attitude: «on se doit d’avoir la bonne attitude pour faire l’approche de ce match-là». Et faire l’approche avec une bonne attitude, c’est faire comme Subban, l’a fait. Il «a pris charge, donc je le sentais très engagé dans le match».

Voilà qui est clair (si vous comprenez le franglais). Avec un tel positivisme, le début du reste de la saison devrait être très spectaculaire.

* Contrairement à ce qui se fait ailleurs, les propos de Michel Therrien n’ont pas ici été traduits dans un langage compréhensible par souci d’authenticité.

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