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Les bourrelets de Smith-Pelly

Nous pourrons assister ce soir au grand retour de Devante Smith-Pelly. Depuis l’échange qui a envoyé Jiri Sekac en Californie, le gros bonhomme s’est justement fait reprocher d’être un trop gros bonhomme. Un peu trop dodu. Est-ce que de l’envoyer dans les gradins pendant deux matchs pour manger des rotteux et des nachos avec du Cheez Weise était vraiment la meilleure des idées? Pas sûr.

Smith-Pelly, que de plus en plus d’analystes surnomment «Decevante Smith-Pelly», a récemment affirmé que Canadien avait de plus hauts standards en matière de conditionnement physique que les autres équipes. Si vous voulez notre avis, c’est plutôt que les médias qui suivent Canadien ont des plus hauts standards en matière de scruter l’équipe jusque dans ses moindres bourrelets.

Imaginez, il y a même des chroniqueurs qui font une page complète sur un joueur de quatrième trio qui fait de l’embonpoint.

Reste que Smith-Pelly croit plutôt qu’il éprouve des difficultés à s’adapter au système de Canadien. Considérant que le système de Canadien s’appelle Carey Price, peut-être que ces deux-là ne s’entendent pas très bien dans le vestiaire et que c’est la cause des soucis de l’équipe. Ou pas.

Le problème, c’est surtout que Smith-Pelly ne sait pas quoi corriger. Michel Therrien ne lui a rien dit: «Il n’y a pas eu de discussion et j’ignore s’il y en aura une». Voilà qui est un peu inquiétant à l’orée de la vraie saison. Michel Therrien doit parler à Smith-Pelly ou à sa diététicienne dès que possible.

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