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Quatre positions pour une Saint-Valentin caliente

Photo: Métro

Qu’on soit pour ou contre la Saint-Valentin, il reste que la frénésie du 14 février s’empare souvent des amoureux et favorise les rapprochements. Pour l’occasion, pourquoi ne pas s’offrir une petite mise à jour côté positions sexuelles? C’est parti!

Le missionnaire repensé
Traditionnellement, la position du missionnaire implique que la femme soit allongée sur le dos et que l’homme se place sur elle. Trop routinier? Essayez donc cette variante: l’amante reste dans la même position, mais pose un petit coussin sous ses reins. Cela fait en sorte de changer l’angle de la pénétration et de maximiser le frottement de la verge sur le clitoris. Après tout, qui dit friction, dit généralement sensations agréables! C’est souvent monsieur qui est actif dans cette position, mais il y a moyen d’inverser les rôles: mesdames, faites travailler votre bassin!

La levrette sur les coudes
Petite variante, mais mégacoup de main! Bien que la position de la levrette (ou doggy style en anglais) permette une pénétration vaginale contrôlée, plus profonde, tout en favorisant la stimulation du point G, il reste que se retrouver «à quatre pattes», ça peut devenir inconfortable assez rapidement! Tentez plutôt de vous appuyer sur les coudes et les avant-bras, vous éviterez ainsi à vos poignets de se fatiguer sous le poids de votre corps.

La levrette enlacée
Lorsque vous aurez tenté la position précédente, pourquoi ne pas aller encore plus loin? La femme s’allonge sur le ventre (les hanches et les jambes au bord du lit) et enlace la taille de son amant avec ses jambes. Celui-ci se tient derrière sur le sol et contrôle la pénétration en calibrant les poussées au niveau du bassin. Là aussi, se tenir sur les coudes permet d’accentuer l’angle de la pénétration et dégage une main pour… davantage de plaisir.

L’Andromaque, les jambes en diamant
À la base, pour cette position, la femme se place au-dessus de son partenaire en lui tournant le dos. Voici de quoi pimenter ce classique: pendant que la femme chevauche l’homme, ce dernier reste étendu en repliant les jambes. Il laisse alors descendre les genoux afin que les plantes des pieds se touchent. La femme, elle, l’enjambe par derrière, en se penchant doucement vers l’avant afin que son clitoris puisse être mieux stimulé.

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