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Nouvelle recherche sur l'hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie n’est pas un mal banal et provoque plusieurs difficultés chez les patients qui en souffrent, en plus de coûts en santé pour l’État, estime une nouvelle recherche. 

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

Crédit photo : Freedigitalphotos.net

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