Vingt Å“uvres qui font le bonheur

Que ce soit un film, un album, un livre, une série télé ou n’importe quelle œuvre culturelle, chacun a son petit trésor pour se remettre sur le piton lorsque le cœur n’y est pas. En espérant mettre un peu de soleil dans les jours gris, Métro, en marge de son spécial bonheur, a demandé aux membres de sa salle de rédaction ce qui les fait sourire.

Forrest Gump
Même après plusieurs années, les péripéties de Forrest Gump réussissent encore à nous accrocher un sourire au visage. Parce qu’on aime le voir raconter les multiples anecdotes qui ont marqué sa vie, tout comme on aime le voir surmonter les plus dures épreuves. Voilà toujours un beau message d’espoir qui nous rappelle que la vie, c’est comme une boîte de chocolats!

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The Big Lebowski
The Big Lebowski est le film idéal pour relaxer et oublier ses soucis.
Bowling, Caucasian,  et marijuana sont la recette du bonheur du Dude et à
défaut de l’imiter, on ne peut qu’être inspiré par sa philosophie
je-m’en-foutisme. Quant à l’intrigue, il faut bien le dire, c’est
tellement du grand n’importe quoi, qu’on fait assurément abstraction de
tous ses problèmes.

La discographie complète des Rolling Stones
Peu de choses nous procurent autant de plaisir en ce bas monde que de faire «spinner» un bon vieux vinyle des Stones. Les puristes se chicanent toujours pour savoir lequel est le meilleur (Exile? Sticky Fingers? Beggars Banquet?) et on pourrait débattre jusqu’à la fin des temps sans en venir à un consensus. Perso, on avoue avoir un faible marqué pour Between the Buttons et Aftermath, deux albums qui contiennent certaines des meilleures «tounes» rock de l’histoire. Reste que chaque opus de Mick, Keith, Charlie et Ronnie est un chef-d’œuvre en soi et qu’on écoute l’ensemble de leur discographie, année après année, avec un plaisir toujours renouvelé.

La vie, la vie
La série de Stéphane Bourguignon et de Patrice Sauvé a ce don de donner des réponses à nos questions et de nous réconforter. On la regarde encore et encore (39 épisodes de 22 minutes, c’est vite fait) et on rit, on pleure et on en sort chaque fois grandi.

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Eternal Sunshine of a Spotless Mind (ou Du soleil plein la tête, en français)
Pour sa beauté, son originalité, sa vérité malgré tous les mirages. Ce film de Michel Gondry laisse toujours un sourire sur les lèvres après chaque écoute. C’est avant tout une belle histoire d’amour (mais pas quétaine), qui flirte avec le surréalisme et qui, surtout, nous donne l’impression de pouvoir tout recommencer à zéro, même lorsqu’on croit qu’il est trop tard.

Album du peuple tome 2
Qui ne connaît pas Prof de gym, T’es au bat boy ou Guy y’a un bicycle jaune? En 1992, François Pérusse était à son apogée avec le deuxième tome de l’Album du peuple. À réécouter par nostalgie ou juste parce que c’est drôle!

Ferris Bueller’s Day Off
Un dimanche après-midi, rien à faire, on ouvre la télé et on tombe sur Ferris Bueller’s Day Off. Ça c’est la joie! On attend avec impatience la parade au cours de laquelle Ferris enflammera la foule en chantant Twist & Shout. Les belles années de Matthew Broderick.

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Astérix et les 12 travaux
Tous les (vieux) films d’Astérix sont bons, mais Les 12 travaux a un petit je-ne-sais-quoi qui nous charme à tout coup. Que ce soit à Ciné-Cadeau ou sur notre vieille version VHS, on le regarde et on se surprend de connaître toutes les répliques de Cylindrique le Germain, de l’hypnotiseur ou du Vénérable du sommet. Pourquoi ne pas le faire découvrir aux enfants autour de vous? Succès assuré.

A Boy Named Charlie Brown, Vince Guaraldi Trio
Le jazzman italo-américain Vince Guaraldi a su insuffler à ses adaptations musicales des bédés de Charles Schulz un petit je-ne-sais-quoi qui fait sourire à chaque écoute. Il suffit de se rappeler Charlie Brown au monticule ou Linus et sa couverture… Un bijou d’album jazz très accessible.   

Rock’n Nonne – Oh Happy Day
Les films Rock’n Nonne ont ce petit je-ne-sais-quoi qui fait sourire. Mais que dire de la chanson Oh Happy Day chantée par la chorale de jeunes dans le tome 2 ? Frissons garantis!

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Les escrocs (v.f. de Sneakers)
Sorti en 1992, ce film est du pur bonheur. Peut-être est-ce parce qu’il est à la fois un bon thriller et une bonne comédie. Les dialogues sont brillants et charmants, surtout dans la version française (ce qui peut paraître étonnant). Puis il y a la distribution: Robert Redford, Sidney Poitier, Dan Aykroyd, River Phoenix, David Strathairn et Mary McDonnell, qui jouent tous avec un plaisir évident.

La Guerre des tuques
«Daniel Blanchette de Victoriaville!» «Y a le pied pris dans un piège à renard à ours.» «T’as de la neige là. T’as un trou dans ta mitaine.» Et bien sûr «La guerre, la guerre, c’est pas une raison pour se faire mal.» Après Slap Shot et Elvis Gratton, La Guerre des tuques est probablement le film le plus cité au Québec. Les enfants des années 1980 ne peuvent que se sentir bien après un visionnement du célèbre conte pour tous.

Le fabuleux destin d’Amélie Poulin
Le mélange de simplicité et de profondeur du propos, la musique
envoûtante de Yann Tiersen, la finesse de la réalisation et le vent
d’optimisme qui se dégage de ce film, avaient à l’époque touché nos
cœurs. En le revoyant quelques années plus tard, ayant résolu quelques
énigmes de la vie, ô surprise, il n’a quasiment pas vieilli.

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La Mélodie du bonheur
Un classique La Mélodie du bonheur en film et en musique à revoir en famille au moins une fois par année.

Franz Ferdinand, album éponyme (2004)
Impossible d’être maussade en écoutant le premier album du groupe écossais Franz Ferdinand! Qui n’a pas déjà tapé du pied en écoutant Jacqueline et Michael ou chanté à tue-tête pendant Take Me Out? Cet album s’écoute à plein volume (souvent plus d’une fois), en toute occasion, mais surtout pendant les voyages en voiture et les fêtes.

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Willow
Sorti en 1988, le film Willow raconte l’histoire de Willow Ufgood (Warwick Davis), un nain qui doit, avec son amie Madmartigan (Val Kilmer), protéger la petite princesse Elora Danan, encore bébé, face à la vilaine reine Bavmorda (Jean Marsh). Alors que les aventures se succèdent, on s’attache aux personnages et on se laisse emporter par l’histoire.

Toy Story 1, 2 et 3
La trilogie Toy Story est l’exemple parfait d’un feel good movie. Non seulement les images sont spectaculairement belles, mais en plus l’histoire est poignante et intelligente. Même si on a versé une larme ou deux pendant le troisième volet de la série, on ressort du visionnement le sourire aux lèvres et le coeur léger. À voir ou à revoir pour retrouver notre coeur d’enfant!

Le dîner de cons (film de Francis Veber)
Parce que même après avoir vu ce film assez souvent pour le connaître par coeur, les dialogues savoureux et les performances parfaites de Thierry Lhermitte, Jacques Villeret et leurs acolytes continuent de nous faire rire aux larmes à tout coup. Rien de mieux pour chasser la déprime!   

Friends
Cette série culte a beau avoir pris fin en 2004, elle demeure une de nos préférées. Même si on connaît presque par coeur la majorité des épisodes, on rit toujours de bon coeur face à la naïveté de Joey, aux maladresses de Chandler, à l’exubérance de Phoebe, aux manies de Monica et aux malchances de Ross et de Rachel. Plusieurs séries ont tenté de recréer la magie de Friends depuis sa disparition, mais c’est toujours l’ami de ces six loyaux comparses qu’on veut être!

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L’Art de la simplicité
Le livre L’Art de la simplicité appréhende toutes les approches pour se sentir en harmonie avec soi-même et, par conséquent, avec les autres: vivre zen, telle est la clé de l’équilibre et du bonheur.