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Les nouveaux visages de la Maison des jeunes de Saint-Léonard

Photo: Thomas Laberge Progrès/Saint-Léonard

Fraichement arrivée, la nouvelle équipe d’intervenants de la Maison des jeunes veut mettre de nouveaux projets de l’avant et ajouter sa couleur à l’organisme.

Bien que Maude Joanisse-Guénard soit à la Maison des jeunes depuis 4 ans comme intervenante, elle considère qu’elle fait partie de la nouvelle équipe puisqu’elle est maintenant directrice. « On a des projets que l’on souhaite continuer, mais on veut aussi ajouter notre touche personnelle dans notre animation », dit-elle.

De l’animation dans les parcs
La Maison des jeunes a aussi un nouveau projet qui consiste en de l’animation dans les parcs. « Il y a des statistiques qui disent que l’on a besoin d’occuper nos jeunes dans les parcs », explique la directrice.

Ce nouveau service est sous la responsabilité de Marie Fransonnette Prussien. « On reçoit les jeunes après l’école et on fait des jeux éducatifs », explique l’animatrice. Elle ajoute aussi une dimension culturelle à ses activités. « On a des jeunes de différentes origines alors on leur fait écouter des films de différents pays  », dit-elle.

Plus que des animateurs
Pour la nouvelle équipe, il est important de faire connaître l’organisme aux jeunes. « On va dans les écoles afin de leur parler de nous », affirme Jean-Philippe Isabelle qui souhaite développer le volet créatif de la maison des jeunes.

Les réseaux sociaux sont d’ailleurs un outil important pour la promotion de l’organisme. « Les jeunes sont beaucoup sur Facebook, Instagram, Snapchat. Alors on essaie de les informer de nos activités par-là », dit Thomas Markowicz, intervenant à la Maison des jeunes depuis novembre.

Il lui est aussi important de rappeler que leur rôle n’est pas uniquement d’animer des activités pour les jeunes. « On est des intervenants, on essaie donc aussi de créer des échanges avec eux », dit Thomas

Il cite en exemple le fait que la Maison des jeunes organise des conférences avec des intervenants extérieurs. « On a par exemple une sexologue qui vient deux fois par semaine pour aborder des thèmes liés à la sexualité avec les jeunes », explique Thomas Markowicz.

 

 

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