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7 choses à savoir sur la réalité des astronautes canadiens

Photo: Aki Hoshide

Il ne reste que quelques heures pour postuler sur la plus récente campagne de recrutement d’astronautes de l’Agence spatiale du Canada!

C’est en effet ce soir, à 23h59, heure du Pacifique (donc 2h59 du matin, mardi, heure de l’Est) que prend fin la campagne de recrutement, qui vise à combler deux postes à compter d’août 2017.

Parmi les critères de sélection, il faut détenir un baccalauréat en génie ou en sciences ou un doctorat en médecine ou en médecine dentaire, avoir une vision parfaite et être en bonne forme physique. Il faut par ailleurs savoir nager (pouvoir faire au moins 250 mètres en 10 minutes et pouvoir faire du surplace pendant au moins 10 minutes) et avoir les compétences nécessaires pour être porte-parole de l’Agence spatiale canadienne. Pouvoir converser en russe ou dans une autre langue que le français, l’anglais et le russe est un atout.

Les candidats doivent écrire une lettre d’un maximum de 1000 mots expliquant leurs motivations pour devenir astronaute et détaillant les éléments qui feront d’eux des candidats de choix.

Au 6 juillet dernier, plus de 3300 candidatures avaient déjà été reçues, mentionnait La Presse Canadienne.

Pour vous préparer ou par simple curiosité, voici 7 choses à savoir sur la réalité des astronautes canadiens:

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Depuis 1983, 12 Canadiens sont devenus astronautes. En ce moment, deux sont actifs. Il s’agit de Jeremy Hansen et de David Saint-Jacques.

 

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Les astronautes sont embauchés selon des contrats à durée déterminée. Le premier contrat, qui sert aussi de période d’évaluation, peut durer jusqu’à deux ans.

 

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Il n’y a pas de restrictions d’âge pour les candidats, mais ceux qui ont été choisis en 2009 par l’Agence spatiale canadienne avaient entre 33 et 39 ans.

 

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Il est possible de pleurer dans l’espace, mais les larmes forment des boules liquides qui restent collées sur les yeux.

 

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Il est impossible de laver son linge à bord de la Station spatiale internationale. Quand ils sont trop sales, les vêtements sont jetés dans un vaisseau «poubelle».

 

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Les femmes ont leurs règles dans l’espace, et aucun trouble menstruel n’est relié à l’apesanteur.

 

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Il fait -120ºC à l’ombre et  150ºC au soleil, en orbite entre 350 et 400 km de la Terre, là où se situe la Station spatiale internationale.

 

[Source : Agence spatiale canadienne]

 

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