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Quand travailler à l’étranger provoque l’épuisement

Sad young man looking through the window Photo: Getty Images/iStockphoto
Lindsay-Anne Prévost - 37e avenue

Même si l’idée de partir à l’étranger pour le travail est fort attirante, le voyage a aussi ses inconvénients. Il peut mener au travel burn-out, soit la perte d’envie de voyager.

Le sentiment survient plus particulièrement chez les voyageurs solitaires et les salariés qui voyagent beaucoup pour leur travail. Ils voyagent tellement qu’ils en viennent à perdre le goût du voyage en soi. Peu importe la destination et les joyaux dont ils sont entourés, l’émerveillement ne se fait plus ressentir.

Certes, plusieurs voyageurs ont tendance à enchaîner région sur région lorsqu’ils sont à l’étranger. L’envie de tout voir et de tout découvrir de chaque parcelle du continent visité les amène souvent à voyager à un rythme effréné. Or, à un certain moment, la fatigue prend le dessus et c’est là que l’épuisement du voyageur peut se faire sentir. Pour certains, la solitude finit également par peser.

Combattre l’épuisement du voyageur
Même si cela pousse plusieurs voyageurs à revenir au bercail, il y a moyen de contrer ce sentiment désagréable en restant sur place. S’inscrire à des activités de groupe, par exemple, favorise l’émergence de nouvelles amitiés.

Installer ses pénates au même endroit pour un plus long moment peut également être une bonne idée. Cela permet de mieux profiter de son environnement, de retrouver une certaine vie de quartier, de s’approprier la ville et donc de se sentir un peu plus comme à la maison.

Au final, le burn-out du voyageur est un sentiment passager, qui finit souvent par laisser place au blues du voyageur une fois de retour. Un sentiment un peu plus positif en quelque sorte, puisqu’il témoigne d’une certaine nostalgie d’une
expérience passée…

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