Le collectif DRAF (durabilité et rayonnement d’artistes féministes) présente deux œuvres abordant les questions du rapport au corps, de la compétition et de l’imperfection comme évidence.
Inspiré par un profond attachement pour la chanson, Pierre-Paul Savoie (1955-2021) a puisé dans le répertoire musical québécois pour créer Le Trésor, sa dernière création interdisciplinaire.
Leo est un spectacle déroutant à la fois drôle, surréaliste et étonnamment touchant. Cette œuvre défie nos sens et notre perception de la réalité grâce à une interaction ingénieuse entre la performance et les projections vidéos.
Considéré par la CBC comme l’ensemble de guitares le plus « hot » au Canada, le Montréal Guitare Trio s’est rapidement imposé comme un chef de file du renouveau et de l’interaction entre les diverses formes musicales.
Avec ce spectacle explosif et viscéral, La Otra Orilla fait table rase et revient aux fondements de l’art flamenco.
L’Indien malcommode nous ouvre l’accès au brillant esprit de Thomas King – intellectuel autochtone passé maître dans l’art du récit et auteur de l’ouvrage à succès L’Indien malcommode – pour faire voler en éclats l’idée fausse que l’Histoire n’est rien de plus que des histoires que nous racontons sur le passé. Y allant de clins d’œil à son chauffeur de taxi Coyote, King offre un survol critique des récits coloniaux d’Amérique du Nord.
Entremêlant récit épique et virtuosités acrobatiques, le spectacle raconte avec force et courage une tragédie moderne: celle des enfants migrants qui luttent pour trouver leur place au soleil.
À la lisière de l’anthropologie sensorielle, cette installation explore le potentiel de l’imagination, faisant de celle-ci le moteur de relations entre plusieurs personnes rassemblées par une expérience d’immigration. De manière sensible, cette œuvre interroge la mobilité de nos appartenances et la possibilité de se reconnaître dans l’autre : autant dans sa mémoire intime que collective.
Sur fond de résilience et d’espoir, Les corps avalés explore les relations de pouvoir, les inégalités et le désordre social.
Dans l’installation La fin des icebergs, Daniel Corbeil s’inspire des romans photo et de la bande dessinée pour élaborer une science-fiction où deux groupes aux intérêts contraires s’affrontent autour du dernier iceberg connu de la planète.
Invisible 无形 est une enquête existentielle sur le mouvement au sein d’un paysage multidisciplinaire puissant et visuellement époustouflant.
Une création multimédia innovatrice alliant musique et scénographie vidéo immersive, inspirée de l’œuvre et du destin de Camille Claudel, sculptrice française exceptionnelle.