Soutenez

Deux activités pour faire bouger dans l’Est

archive Photo: Archives Le Flambeau

Dans le cadre de la de la campagne J’Embarque! Les rendez-vous de la mobilité durable, deux activités pour faire la promotion du transport actif dans l’Est de Montréal seront organisées ce vendredi par L’Anonyme, un organisme qui vise notamment à promouvoir des comportements sécuritaires.

Pour une deuxième année, le concours À mon école, ça marche! sera organisé pour les enfants de dix écoles de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Les jeunes sont invités à se rendre à l’école à pied, à vélo, en planche à roulettes ou en trottinette. 

Cette activité vise à faire la promotion du transport actif chez les élèves du quartier. « On s’est dit que moins il y avait de véhicules qui circulaient autour des écoles, plus les enfants étaient en sécurité, souligne la coordonnatrice du programme en sécurité urbaine L’Anomyme, Sophie Gagnon. C’est aussi une occasion d’encourager la marche ou le vélo ». 

L’école qui comptera le plus haut taux de participation se méritera une sortie au centre d’escalade Horizon Roc pour tous les élèves de l’école offert par le 5600.com. « Cette année, la classe qui aura le plus haut taux de participation aura en plus droit à des ateliers au District 5, une place de soccer intérieure », ajoute madame Gagnon. L’année dernière, 1500 élèves avaient relevé le défi malgré le mauvais temps. 

Pour l’occasion, la conseillère de ville dans le district Tétreaultville, Suzie Miron, sera présente à l’école La Vérendrye pour accueillir les élèves. 

Une piste cyclable pour quelques heures

Dans le cadre du Park(ing) Day, le comité en mobilité active de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve (COMAC) mettra sur pied une piste cyclable temporaire sur la rue Hochelaga au coin de la rue Dickson et Monsabré, côté sud, le 20 septembre de 13h à 17h. 

L’événement a pour objectif de sensibiliser les différents utilisateurs du réseau routier et les élus aux dangers du transport actif dans ce secteur où de plus en plus de vélos tentent de circuler de manière sécuritaire. « Le but est de signifier la lacune qu’il peut avoir dans le réseaux cyclable, explique Sophie Gagnon. Il y a un creux à cet endroit sur la rue Hochelaga qui fait en sorte que les vélos ne sont pas en sécurité lorsqu’ils circulent. »

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.