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Le candidat du PPC Jean Langlais veut défendre les valeurs canadiennes

Jean Langlais se présente pour le Parti populaire du Canada (PPC). Photo: Gracieuseté

L’homme d’affaires Jean Langlais représentera le Parti populaire du Canada (PCC) dans la circonscription de Ville-Marie – Sud-Ouest – Île-des-Sœurs aux prochaines élections fédérales. Le résident de l’arrondissement Ville-Marie priorise l’économie, la liberté d’expression et l’immigration.

Le candidat a été séduit par la clarté de la plate-forme politique du parti fondé par Maxime Bernier, ancien aspirant à la direction du Parti conservateur et ministre qui a remis sa démission en décembre 2018.

Son parti prône entre autres la protection des citoyens qui font face à la censure ou subissent des propos discriminatoires. «Je veux défendre un Canada qui se distingue par son identité, son multiculturalisme et ses valeurs canadiennes comme la courtoisie, le respect, la liberté d’expression», explique-t-il

Ce père de deux enfants de 30 et 34 ans souhaite qu’ils puissent ainsi vivre dans un monde meilleur. «J’espère garantir à mes petits-enfants cette liberté de choix et de pensée», ajoute le propriétaire d’un studio d’enregistrement de musique et vidéo.

Économie

La circonscription de Ville-Marie – Sud-Ouest – Île-des-Sœurs compte 40% des résidents de l’arrondissement Sud-Ouest qui vivent sous le seuil de la pauvreté. «On voit les disparités économiques particulièrement à Saint-Henri et Pointe-Saint-Charles et surtout le phénomène de la gentrification qui expulse les gens les moins fortunés», illustre-t-il.

Langlais connaît bien la réalité son secteur. Certains gagnent 25 000$ par année alors qu’à L’Île-des-Sœurs ou dans les tours à condos du centre-ville, ce salaire triple.

Son parti veut aussi réduire la taille de l’État, abolir le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) et privatiser Postes Canada. Le PPC souhaite aussi abolir les subventions aux entreprises.

Admiration

L’homme de 63 ans a commencé à s’intéresser à la politique lors de la course au leadership du Parti conservateur. «Maxime Bernier a accepté sa défaite et s’est aperçu que ses politiques ne pouvaient pas être adoptées. Il a eu le courage de ses convictions en fondant son propre parti. J’admire sa droiture et sa rectitude», témoigne M. Langlais.

Il est aussi fier de la performance de son chef, un homme de cœur et de passion, dit-il. Le soir du 21 octobre, il est confiant que sa formation politique peut faire élire au moins cinq à six députés à travers le pays.

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